« La fraude est simple, il suffit de laisser au citoyen lambda la joie de vérifier la conformité de son vote, d’une part afin d’entretenir l’illusion, et d’autre part, fournir des résultats d’élections à la sauce voulues par les industriels ou les politiques, la procédure de calcule pouvant à soin, être ROMé selon les directives de la propriété industrielle les plus restrictive. Ainsi un contrôle total devient impossible, sous couvert de sécurité. Et si jamais cette partie ne suffit pas, les industriels peuvent, cabler en hard, lors de la gravure, les micro codes fallacieux. »
Ceci ne fait que confirmer une fois de plus mon propos, à savoir le fait que vous avez tous résolument décidé de ne pas lire ou de ne pas comprendre mon article.
J’ai écrit : « Si vous n’êtes pas convaincus, expliquez-moi en détails comment vous voyez un scénario de fraude qui extérieurement apparaîtra conforme à la méthode que j’ai décrite. » Il est clair pour moi que le scénario que vous proposez ne peut en aucun cas apparaître extérieurement conforme à la méthode que j’ai décrite, mais seulement bien sûr extérieurement conforme aux méthodes invérifiables habituelles dont vous raffolez tellement que vous avez résolument décidé de rejeter toute tentative de concevoir la possibilité d’un scénario différent qui soit exempt de ces trous de sécurité.
Dois-je rappeler que dans mon scénario, la liste des bulletins de vote est intégralement publiée, de sorte que chacun aura loisir de recompter les bulletins par un mini script dans son propre ordinateur.