Vous étiez assis pendant des heures, le 11 septembre 2001, regardant les événements présentés. Vous observiez l’écrasement des tours au sein même de leur base terrestre : parfaitement, symétriquement et complètement. Mais quelque chose clochait. Vous ne pouviez mettre le doigts dessus mais quelque chose était certainement étrange au sujet de cette attaque, vue globalement. Des avions de ligne (ou leur absence) jusqu’à la réaction tardive des jets militaires, puis jusqu’à la chute qui ressemblait drôlement à une démolition sous contrôle.
Cependant, quelques heures plus tard, alors que le FBI eut pris les choses en mains et que vous eussiez entendu la chanson « Proud to be an American » (Fier d’être Américain) 30 ou 40 fois, tout commença à prendre un sens.
Toujours un peu confus sur la façon dont les pirates de l’air eussent pu introduire des bombes dans les deux tours, il semblait vite clair que les « boum » et les « bang » perçus par les témoins sur place n’aient pu en fait se produire. Ainsi, plus rien d’alarmant au sujet de ces déclarations embêtantes d’explosions, de bombes et de détonations.
Vous avez tenté d’oublier que vous n’avez pas vu d’avion au Pentagone, bien que vous ayez vu le feu et la fumée, et qu’on vous ait dit qu’un avion avait crashé juste là.
Vous vous souvenez d’une espèce de journaliste imbécile qui fut assez fou pour affirmer publiquement « qu’aucun avion ne s’est crashé où que ce soit aux environs du Pentagone »...
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