OK, mais pourquoi ne pas passer à la maison préfabriquée, produite en grande série(pour un cout moins élevé) avec de multiples options quant à la finition (type castor ou clé en mains)), au choix « énergies renouvelables » au choix puits canadien qui abaisse sensiblement la note chauffage. Les Pays nordiques, L’Allemagne en particulier proposent des modèles à des prix très abordables, proches des couts des maisons Borloo. Il s’agit de maisons à ossature bois, le bois 100% étant trop couteux et trop cher d’entretien. Si on combine cela avec les droits de préemption des maires pour faire baisser le cout des terrains, un encadrement crédit (sous tutelle HLM et au besoin en légiférant) qui protègerait l’acquéreur en lui garantissant une reprise de son bien au prix du marché en cas de défaillance. Tout cela assaisonné avec une politique urbaniste intelligente (beaucoup de maires savent faire...) tout en sachant qu’être propriétaire rend soigneux...Tout cela pourrait aussi finir par tirer les prix vers le bas... Ces maisons pourraient aussi être produites en série dans des bassins d’emploi sinistrés, avec le concours de toutes les compétences nécessaires (architectes, ingénieurs environnement, paysagistes etc...)sachant que leur modularité potentielle pourrait couvrir toutes les demandes de la maison basique (mais esthétique) à la résidence de luxe en passant par la « maison passive » (qui produit plus d’énergie qu’elle n’en consomme : un rêve encore couteux !)
C’est ce qu’on appelle en général faire d’une pierre deux coups et ce n’est pas irréalisable...