Nous assistons à un effondrement des pays issus de la décolonisation, en Afrique et au Moyen-Orient, qui est dû à l’échec historique de l’idéologie funeste de la décolonisation, dont on voit les conséquences ravageuses s’étendrent tous les jours davantage.
Les populations de nos ex-colonies de France ou d’Angleterre se lancent dans une fuite éperdue, souvent au risque de leur vie, afin d’échapper aux conséquences de la faillite économique, mais aussi intellectuelle et morale, qui frappe leurs pays d’origine, pour venir se réfugier chez nous.
Or, le but que nous recherchions en leur accordant l’indépendance n’était certainement pas qu’ils viennent ensuite s’installer en Europe, sans autorisation préalable, afin de ne pas crever de faim.
Comme toujours la misère et la faim accroissent la violence de sociétés, déjà violente par nature, et on peut parler de faillite intellectuelle et morale, lorsqu’on voit avec quel entrain ces gens, ravalés au rang des bêtes sauvages, s’entretuent.
Et de quelle façon : attentats à la bombe sur des marchés à l’heure d’affluence, attentats à la bombe sur les lieux de cultes, attentats à la bombe contre les processions funéraires, massacres religieux ou ethniques, dont la liste s’allonge chaque jour davantage.
Et les trêves et les traités de paix que l’on signe ne sont que des torchons de papier signés par deux menteurs !
Et comme toujours ce sont les plus faibles qui trinquent, les femmes par exemple, que l’on opprime, que l’on bat et que l’on tue comme du bétail.
Face à cette faillite, l’Occident, associé aux pays civilisés d’Asie, devra intervenir. Ce droit d’ingérence est bien sûr une limitation, sinon une remise en cause, de l’indépendance politique de ces pays. Il s’agira d’une mise sous tutelle et d’une surveillance étroite.
D’ailleurs quel potentat oriental peut aujourd’hui massacrer son propre peuple sans être aussitôt mis sous les feux des projecteurs : Saddam Hussein a sans doute été le dernier de son espèce et les tueurs de Karthoum ne bénéficieront plus longtemps de l’impunité.
Ensuite, il faudra s’attaquer aux racines du mal : réformer les structures sociales, éradiquer les croyances traditionnelles qui sont un frein au développement.
Un vaste programme que le Monde va devoir entreprendre, car sinon ces peuples seront en grave danger.
La nomination de BK, l’inventeur du Droit d’Ingérence, est un signe qui ne trompe pas.