Malgré son titre, cet article ne traite pas d’un état trop « fort », mais de l’usage malsain de positions de pouvoir par certains à l’encontre d’autres, de corruption, de violence, de malversations, pour reprendre les termes de l’article.
- Première remarque : Cela ne se rencontre pas uniquement dans la sphère politique, mais ces comportements sont très répandus dans les entreprises, le commerce, les prétoires ... partout où certains ont un pouvoir face à d’autres qui n’en ont pas.
Qui n’a jamais été victime de banques, d’assurances, des « petits chefs », d’organismes publics ou privés ?
- Deuxième remarque : Dans le domaine de la sphère publique élective (il faudrait aussi aborder le problème des « hauts fonctionnaires ») j’ai déja proposé, dans le commentaire d’un autre article quelques voies de solution :
Outre l’interdiction de tout cumul (comme de la « suppléance » pour les ministres), la non-rééligibilité.
Un(e) élu(e) ne devrait pas pouvoir se représenter à l’élection suivante. Cela limiterait la tentation de favoriser sa circonscription électorale au dépend de l’intérêt général et le renouvellement ainsi introduit éviterait que la politique soit un « métier ». Nous serions ainsi mieux représentés par des gens sortis de milieux différents.
- Troisième remarque : A tout pouvoir devrait correspondre un contre-pouvoir réel et effectif, n’ayant aucun rapport (hiérarchique, social, ...) avec le premier.