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Commentaire de claude

sur Bertrand Cantat désire sortir du noir


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claude claude 29 mai 2007 14:33

@ vincent

suite à votre 2° post, mais de quoi je me mèle ???

- « Après avoir lu un bon nombre d’articles et de bios la concernant, je pense que Marie Trintignant été une provocatrice, une chieuse, une sorte de femme enfant capricieuse mais une personne très attachante avec un charme fou. » et alors ??? smiley si cantat ne supportait pas cette attitude, il avait qu’à la quitter au lieu de la prendre comme punching-ball !!! avez vous pensé à la réaction des enfants de marie, s’ils vous lisaient ???

http://www.tf1.fr/infos/france/2004/0,,1890141,00-elements-cles-enquete-.html, " (...) LES EXPERTISES Marie Trintignant est morte des coups donnés -dix-neuf au total, dont sept à la tête- par Bertrand Cantat. Les conclusions de l’autopsie et d’un rapport complémentaire écartent la thèse de l’accident. Mais elles peuvent être interprétées différemment.

Ainsi, d’après la dernière expertise, les déclarations de l’accusé seraient « en partie compatibles » avec les lésions constatées sur le visage de la victime. De même, pour expliquer la passivité du rocker après la bagarre, les experts soulignent que « pour un profane, l’état de coma peut être confondu avec le sommeil d’autant plus facilement que la respiration est régulière et profonde ». En revanche, ils ajoutent que les blessures ont été occasionnées par des coups plus nombreux et surtout plus violents -quatre coups de poing- que la version donnée par le chanteur.(...)

http://www.france5.fr/cdanslair/006055/5/95092.cfm : " Une icône pour les associations de femmes battues

Ce fait divers people a permis de parler du drame peu médiatisé des femmes battues. Chaque mois, six femmes meurent sous les coups de leur conjoint, toutes catégories sociales confondues.

30 % des faits de violence constatés à Paris sont attribués à des brutalités conjugales.

Une femme sur cinq en Europe serait victime de cette violence, selon le lobby européen des femmes.

Les sanctions se durcissent mais restent rares (à peine 20 % des cas).

Au lendemain de la mort de Marie Trintignant, les féministes se sont emparées de l’affaire pour dénoncer la violence machiste, dont l’actrice devenait la victime emblématique."

- "Jouant de ses charmes et s’amusant avec ses hommes, n’avait-elle pas communiqué juste avant l’agression par texto avec un des pères de ses enfants.

Je crois que Bertrand Cantat a du être très jaloux, elle a du en rajouté, histoire de le pousser à bout et le drame est arrivé. " bien sûûûûûûûr !!! c’est de la faute de marie maintenant : quelle horreur !!! smiley elle avait conservé des liens affectueux avec le père d’un de ses enfants. c’est vrai que pour l’éducation il vaut mieux être 2 et éviter de traumatiser les enfants quand on se sépare, mais qd on est avec un mec jaloux incapable de se contôler, il vaut mieux évité !!! c’est ballot quand même !!! smiley elle aurait dû préférer son amant à ses enfants !!!

- "Je pense que Marie Trintignant est probablement à l’origine du problème, qu’elle l’a déclanché, volontairement ou involontairement et qu’en suite les choses se sont emballées pour en arriver à la funeste conclusion que nous connaissons.

Je ne cherche pas d’excuses, je cherche à comprendre ce qui peu faire péter les plomb à un gars, nous ne saurons probablement jamais la vérité car, seul Bertrand Cantat la connaît, mais s’en souvient-il lui-même ?" ça c’est le comble ! vous faites tout le contraire, puisque vous rejettez la faute sur marie, qui n’aurait pas dû faire des enfants avec d’autres monsieurs, s’amuser avec ses amis, rire, danser, picoler, fumer avec ses copains... en connaissant cantat, elle aurait du comprendre qu’elle s’engageait dans un sacerdoce : la dévotion à celui-ci ! smiley

c’est lui qui a tué, et peu importent les raisons . c’est lui qui a privé ses enfants de leur mère, qui elle, ne reviendra pas après 4 ans de cellule !

voici un extrait d’un texte qui résume bien le fond de la pensée de beaucoup de beaucoup de personnes : le véritable coupable , c’est la victime ; celui qui a tué, « le pauvre chéri », n’a pu contrôler ses pulsions !!! on nous sert aussi la même salade en cas de viol ! à croire que les hommes violents naissent et restent irresponsables toute leur vie !!! smiley http://www.sosfemmes.com/infos/infos_archive17_marie_trintignant_pas_morte_ pour_rien.htm

- " (...) Qu’on cesse de qualifier sa mort de tragédie, comme si c’était un effet de la fatalité !

Qu’au-delà de la tristesse, de la douleur, du deuil nécessaire, on remonte aux sources, aux causes, à l’origine du mal. De ce mal qui en France tue une femme tous les cinq jours, qui blesse grièvement, dans leur corps ou dans leur esprit, deux millions de femmes en France, soit une femme adulte sur dix. (Les enquêtes apportent des données comparables pour les autres pays occidentaux.) Et combien de millions d’enfants, témoins ayant parfois cherché à s’interposer, marqués à vie par ce qu’ils et elles ont vu, entendu, ressenti !

Qu’on cesse de blâmer les victimes, de chercher ce qui dans leur passé ou dans leur comportement, peut expliquer l’acte violent. Comme si un acte de destruction pouvait être justifié. Comme s’il avait des causes logiques. Comme s’il y avait la moindre raison valable pour que quelqu’un lève la main sur plus faible que lui.

Qu’on cesse de s’étonner que les victimes aient « mal » résisté, qu’elles ne se soient pas assez défendues. Comme si le problème était en elles. Comme si elles avaient désiré souffrir ou mourir. Comme si elles avaient eu tort de faire confiance à un homme qui disait les aimer.

Qu’on cesse de s’étonner que des hommes bien sous tous rapports puissent AUSSI être des hommes violents. Comme si certains milieux, certaines familles, certains métiers pouvaient être épargnés par la violence. Comme si un homme ne pouvait pas être violent ET souffrir de l’être ; avoir des remords, promettre de ne plus recommencer et craquer de nouveau.

Qu’on cesse de chercher des excuses dans l’absorption d’alcool ou d’autres drogues. Tous les violents ne boivent pas, tous les alcooliques ne battent pas. La drogue peut faciliter le passage à l’acte, elle n’en est pas la cause.

La cause a un nom : la violence masculine. La violence de certains hommes. Une violence liée à la virilité traditionnelle, à la culture machiste. Boire trop, conduire trop vite, chercher à être le plus fort, vouloir prouver qu’on est fort, frapper, cogner, tuer : quels ravages fait cette virilité !

En France, deux millions d’hommes battent leur compagne ou ex-compagne. Dans un pays si fier de sa tradition de galanterie, un homme sur dix commet des violences graves. Tous les cinq jours en France, un homme tue celle qu’il considère comme « sa » femme. (...) "

votre jeune âge pourrait escuser les bêtises que vous dites !


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