Quelques petites brèves de comptoir recueillies par J.M. Gouriot, cadeau !
12 Qu’est-ce que tu fais là, accoudé au bar, les yeux dans le vide ?
- Je synthétise tout ce que je pense...
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.20, J’ai Lu/Humour, n°5908)
13 Elle avance ta montre...
- C’est une vieille, elle fait de la tachycardie...
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.22, J’ai Lu/Humour, n°5908)
14 Plus tu manges et plus tu manges !
- Pareil avec moins tu manges.
- Exactement pareil !
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.26, J’ai Lu/Humour, n°5908)
15 La théorie de l’évolution ? Tu parles ?! Et d’abord l’évolution de qui ? Tout ça c’est pipeau ! On n’a pas évolué... on a changé...
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.37, J’ai Lu/Humour, n°5908)
16 Quand Pinocchio meurt, ça brûle bien...
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.38, J’ai Lu/Humour, n°5908)
17 T’as pas l’air dans ton assiette ?
- Je suis sur le bord...
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.39, J’ai Lu/Humour, n°5908)
18 C’est une voyante qui parle avec les esprits.
- C’est une parlante, alors !
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.40, J’ai Lu/Humour, n°5908)
19 À l’intérieur du cerveau tu vois pas d’intelligence, comme à l’intérieur du réveil, t’as pas l’heure...
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.41, J’ai Lu/Humour, n°5908)
20 Dans l’igloo tu fais les poussières avec un pic !
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.63, J’ai Lu/Humour, n°5908)
21 J’ai jamais vu un con pareil !
- Tu sais pas regarder.
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.66, J’ai Lu/Humour, n°5908)
22 En Afrique, personne travaille, et pourtant t’as pas de chômeurs...
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.68, J’ai Lu/Humour, n°5908)
23 C’est toujours quand y’a pas de pont qu’on veut aller de l’autre côté. Toujours.
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.77, J’ai Lu/Humour, n°5908)
24 Quand le capitaine meurt, le bateau se met à flotter le ventre en l’air...
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.80, J’ai Lu/Humour, n°5908)
25 Si t’es debout au Pôle Nord avec ta femme, ça fait comme des mariés posés sur un gâteau.
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.82, J’ai Lu/Humour, n°5908)
26 Quand tu mets ton oreille contre l’escargot, t’entends le coeur qui bat...
- Surtout si l’escargot il a couru !
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.98, J’ai Lu/Humour, n°5908)
27 Un brouillard ! Mais un brouillard ! On aurait roulé les fenêtres ouvertes, je te jure on se perdait dans la voiture !
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.99, J’ai Lu/Humour, n°5908)
28 Il est con, tu trouves pas ?
- Il porte une cervelle postiche, c’est pour ça !
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.99, J’ai Lu/Humour, n°5908)
29 Tu mets plus tes lunettes ?
- Non, je les perdais tout le temps.
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.101, J’ai Lu/Humour, n°5908)
30 Quand y gèle à pierre fendre, dans les squares, ça écarte les fesses des statues...
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.101, J’ai Lu/Humour, n°5908)
31 Un glaçon, tu l’amènes dans le désert, y reconnaît rien.
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.102, J’ai Lu/Humour, n°5908)
32 L’homme est pas fait pour travailler, c’est pas naturel.
- C’est anomalique.
- Mais oui...
(L’intégrale des brèves de comptoir 1992-1993, p.106, J’ai Lu/Humour, n°5908)
33 Sans la moelle épinière, on peut pas marcher, c’est un peu comme la chaussure du système nerveux...