@ ddacoudre,
pfoooooooooo !!! quel pavé ! vous savez que votre clavier est doté de touches qui vous permettent de sauter à la ligne ??? cela serait sympa la prochaine fois de penser à nos petits yeux et neurones fatigués.
je me suis attaquée par la face nord à votre discours, et j’y ai relevé quelques petites erreurs : en europe, la femme a eu un rôle important dans la société. tout au long des siècles, car il s’en est toujours trouvé de suffisament fines et intelligentes pour tirer leur épingle du jeu.
- http://egypte.mco.free.fr/moyenage/femmes.htm :« »" (...) Les droits
Les femmes du petit peuple et les bourgeoises jouissent d’un assez grande liberté. Majeures à douze ans, elles sont libres de gérer leurs biens, de se marier, de voter même ! Bien des métiers leur sont accessibles.
Pour la femme noble, il en va tout autrement. Dans l’univers violent, agressif, essentiellement viril des châteaux, elle ne compte guère. Son sort est lié à la terre, seule garantie du pouvoir. Ainsi est-elle une monnaie d’échange pour les seigneurs qui désirent accroître leurs biens et assurer une descendance.
Les fillettes sont promises parfois dès leur naissance à des hommes souvent bien plus âgées qu’elles. Leur rôle est pourtant non négligeable puisqu’en l’absence de leur époux qui, lorsqu’il n’est pas en guerre, s’adonne à la chasse, c’est à elles de gérer et d’administrer leurs biens.
L’amour courtois
On ne se marie jamais au mois de mai. Lors des fêtes de mai, garçons et filles se réunissent pour chanter et danser dans les prés. Pour célébrer le retour du printemps, les hommes et les femmes se courtisent librement. Les jeunes gens élisent leur reine, une femme mariée, qui se choisit un partenaire autre que son « jaloux » de mari. Dans les châteaux les liens du de la parenté sont renforcés. La femme règne en maîtresse sur le petit monde des chevaliers et des écuyers, célibataires. On aime se distraire et les fêtes sont nombreuses : mariages, tournois, adoubements,...
Le prestige de la DAME, l’épouse du seigneur est considérable dans le coeur des guerriers. Elle cristallise leurs rêves, leurs désirs, leurs espoirs. Le chevalier doit se montrer prêt à mourir héroïquement pour son amie, alors que celle-ci est censé le protéger par son amour et lui inspire vaillance et courage. Mais l’union des coeurs devient le principe de toutes les vertus. L’amour devient un art, une mystique, une exaltation de l’âme et une délicieuse souffrance.(...)« »"
- http://www.uni-ulm.de/LiLL/3.0/D/frauen/biografien/Jh14/geschichtefr.htm :« »"(...) Le commerce : Dans les villes de nombreuses femmes s’adonnent au petit commerce de marchandises qu’elles fabriquent elles-mêmes, qu’elles achètent et revendent. Ce sont les mercatrices, les boutiquières, les revendeuses. Des femmes pratiquaient aussi le grand commerce. Elles étaient organisées en guildes ou en corporation dans l’artisanat et pouvaient léguer de grosses sommes par testament.
L’artisanat : On rencontre des femmes indépendantes ou salariées dans tous les domaines d’activités non réglementées ou dans les corporations. Outre les métiers du textile ou de l’alimentation on trouve des femmes dans des métiers masculins tels la métallurgie et le bâtiment où la main-d’œuvre féminine journalière est bien moins chère.
L’éducation : Paris dispose à la fin du XIIIème siècle du nombre considérable de 21 maîtresses d’écoles placées à la tête d’écoles élémentaires de jeunes-filles. Les enfants des couches supérieures reçoivent l’enseignement de percepteurs dans la maison de leurs parents.
La médecine : Les femmes occupaient également une place importante dans le domaine de la médecine et de la gynécologie (l’interdit fait aux hommes d’entreprendre un examen médical d’une personne du sexe féminin, l’obstétrique était réservée aux femmes). Ces sages-femmes avaient des privilèges pouvaient être assermentées et recevoir un salaire par la municipalité dans de grandes villes. On ne sait pas combien il pouvait y avoir de guérisseuses ou de barbières-chirurgiennes.
La vie intellectuelle : Au Xème siècle, la sœur et la fille de Charlemagne, religieuses à Chelles, dans l’est de Paris, correspondent avec Alcuin (clerc anglo-saxon appelé par Charlemagne pour présider l’école d’Aix-la-Chapelle) qui leur demande de critiquer son commentaire de l’Evangile selon St Jean et autres écrits religieux.
A partir du XIIIè siècle, les écrits sont plus nombreux et mieux conservés. Des femmes issues de milieux aisés prennent part à la vie spirituelle et intellectuelle et marquent de leur empreinte la vie médiévale. Marie de France, poète française vivant en Angleterre compose des lais, et des poèmes romantiques basés sur de vieilles légendes. Christine de Pizan, femme de lettres franco-italienne et première féministe, dans la Cité des Dames, s’élève contre la culture misogyne, en opposant la défense de l’honneur du sexe féminin.
A Toulouse, les femmes étaient admises à concourir dans une institution littéraire pour favoriser la « science du gaie savoir » fondée en 1323, connue sous le nom des « Jeux Floraux ». En signe d’honneur, le vainqueur recevait une violette d’or fin et recevait la qualification de « maître » ou « maîtresse ». Depuis 1513, l’Académie des Jeux Floraux de Toulouse célèbre chaque année Clémence Isaure, sa prétendue fondatrice (dont l’existence est cependant mise en doute par plusieurs historiens).(...)« »"
autres sites : http://mboullic.club.fr/les_femmes_qui_ont_fait.htm ; http://www.citadelle.org/annuaire.cfm?id=82&niv=2&rubrique=La%20femme ; http://www.france5.fr/maternelles/eveil/W00251/9/132616.cfm http://membres.lycos.fr/enigmo/femmes.html http://www.doctissimo.fr/html/sexualite/mag_2000/mag1110/se_2900_femme_plai sir.htm ; http://clio.revues.org/document1947.html http://pointsdactu.bm-lyon.fr/article.php3?id_article=766
c’est cet imbécile de napoléon qui nous a mises dans un placard avec son code à la noix ! qui nous a pourri la vie jusque dans la fin du XX° siècle !!!
06/06 00:56 - ocean
je pense que nous sommes dáccord sur léssentiel (pardon pour l,orthographe, clavier hollandais (...)
04/06 10:46 - Paul Villach
« Le dominant, demandez-vous, cher Océan, n’est-il pas le plus souvent celui dont (...)
04/06 01:27 - ocean
d’accord évidemment, Paul. Voilà quand même qui nous ramène (encore une fois) au piège (...)
03/06 21:28 - moebius
Ou ont’ils été chercher une famille pareille ? Pas ou peu d’identification (...)
03/06 18:33 - Paul Villach
Vous aurait-il échappé, cher Océan Atlantique, que depuis presque maintenant un siècle, la (...)
03/06 16:07 - ocean
remarques pertinentes. Quand on verra des beurs sur les pubs des banques, on se dira (...)
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