LA NOVLANGUE DE MARCHÉ ou la fabrique du baratin (suite)
« Après Alain Finkielkraut, Pierre-André Taguieff ou Élisabeth Lévy, c’est désormais au tour - signe des temps ? - d’Alain Minc de partir en guerre contre le politiquement correct, dans un de ces livres de saison dont il a le secret. Ses cibles ? Ceux qu’il désigne comme nos “nouveaux maîtres”, et auxquels il adresse des lettres ouvertes : minorités culturelles, régionales ou sexuelles, apôtres du communautarisme, féministes, organisations style Greenpeace, Attac ou Syndicat de la magistrature, “bref tous les groupes et toutes les idéologies qui se prétendent dominés”. » François Dufay, Le Point, 03/01/2003
Alain Minc : ami des grands dirigeants du monde des affaires et de la politique. Membre de plusieurs instituts économiques et culturels d’où sont prises de grandes décisions diplomatiques, économiques, et sociales : la Fondation Saint-Simon (trésorier), le club le Siècle. Administrateur de nombreuses sociétés, il traite d’économie comme du discours de communication avec sa société AM conseil.
(Alain Minc a été condamné le 28 novembre 2001 par le tribunal de grande instance de Paris à verser 100 000 francs (15 244,90 euros) à titre de dommages et intérêts pour plagiat, reproduction servile et contrefaçon, pour son ouvrage intitulé Spinoza, un roman juif, dont le tribunal a statué qu’il était une contrefaçon partielle de l’ouvrage Spinoza, le masque de la sagesse de Patrick Rödel.)