Salut Pierre,
J’aime ton analyse aussi.
« le vote est obligatoire. »
>>> Oui et c’est tant mieux. Je déteste ceux qui râlent et qui ne se présentent pas pour choisir leur futur.
« le clivage des régions dessine une carte bien spéciale en positionnant La Flandre à droite, la Wallonie qui sanctionne son parti socialiste pour avantager les libéraux, les Écolos qui sortent de leur torpeur et Bruxelles qui se joue, comme vous le dites si bien, des compromis. »
>>> En fait les « Affaires de Charleroi » ne sont pas les seules. Moins médiatisées au Nord, certaines choses n’ont pas le chic qu’il faut pour se mettre en première page des journaux. Non, le Nord et le Sud ont tous deux le même éventail de partis. Les Ecolos, oui, après Francorchamps ont le vent en poupe en fonction de beaucoup de découvertes et de mise à niveaux récents.
« La Belgique a choisi un gouvernement de coalition »
>>> Depuis longtemps.
« La Belgique, c’est deux pays presque différents », soulignait Pascal Delwitt, politologue à l’Université libre de Bruxelles (Le Devoir).
>>>Vrai. Mais en grattant un peu, depuis le faux journal du 13 décembre, on s’aperçoit que ce sont les médias qui ont occulté l’autre rive, volontairement ou non.
« Dirigé par le parti chrétien-démocrate flamand ? Albert II aura fort à faire »
>>> « Et pourtant, pourtant, je n’aime que toi » comme on dit dans la chanson. Il y aura peut-être avec le recul 2 régions ou 2 partis en présence.
« Pragmatisme lorsque vous concluez, avec beaucoup de philosophie, que « L’homme s’aperçoit tout à coup qu’il n’est plus seul et qu’il va devoir vivre ensemble pour »survivre". Les marges de manoeuvres sont devenues beaucoup plus étroites mais plus profitables pour le citoyen ». Le Canada s’est donné un gouvernement minoritaire et je crois, sincèrement, que sa population en prend un goût étrange qui risque d’être contagieux.
>>> Les problèmes du Canada, de la Suisse ne se sont pas résolus comme l’ancienne Yougoslavie et Tchécoslovaquie. C’est très heureux. Le séparatisme ne profite qu’à certains et pas nécessairement à l’homme de la rue.