Mango
Comment veux-tu que je souscrive à ce que tu me demandes ?...
D’une part, je te rappelle, chère ménagère éclairée que la licence poétique, ça existe, et que je compte bien en abuser délibérement ad nauseam.
D’autre part, il ne t’a pas pas échappé, toi dont la sagacité n’a d’égale que la riche expérience, que si les ménagères sont lentement sorti du brontosaure age où l’aiguille ne servait pas qu’à tricoter et où on balançait volontiers quelques tomates sur le minois rougissant d’une qu’avait « fauté », bon nombre d’entre elles restent aussi ouvertes que la générosité de Bolloré et aussi compréhensives que Le Pape devant les préservatifs.
Ceci dit et comme je me souviens de ce que tu as écrit par la suite, je te remercie de me lire avec plaisir.
J’ajouterais simplement que la réalité est sans doute in medio. Nos « ménagères » qui t’on permis de me faire un petit peu d’humour anglais et mois de monter à cheval, ne sont pas plus fautives que les politiques qui leur envoient signaux sur signaux indiquant qu’ils/elles sont des êtres conformes ou quasiment aux canons de l’Angleterre Victorienne.
C’est un épiphénomène de la manipulation généralisée qui résulte de l’ordre marchand et de la réduction qu’il fait de nos vies en marchandises. Cette réduction nécessite tout les moyens, de la séduction à l’imposition, pour s’opérer, et les « règles » de société font aussi partie de cette mascarade généralisée, à mon avis.