De quoi s’agit-il ? De comprendre comment un organisme peut se développer à partir d’une cellule germinale. D’après Maynard-Smith, deux approches sont envisageables, l’une héritée de Mendel, donnant la préséance au programme génétique contenu dans l’ADN et l’autre, inspirée de Goethe, axant le développement sur des interactions dynamiques entre composants, avec auto-organisation spontanée sans qu’il soit nécessaire d’invoquer une quelconque prédétermination de chaque processus.
Ce texte est bien de vous ?
Alors ma réponse a votre affirmation. deux approches sont envisageables j’ose espérer que la plupart des scientifiques ne sont pas assez ignares (comme vous le sous-entendez) pour ignorer que le développement chez les mammifères = code génétique + auto-organisation. Ces deux éléments sont présents et se complètent. Les opposer comme vous le faites n’a aucun sens...
En passant : certains de nos amis les invertébrés montrent cependant qu’il est possible de se développer avec une auto-organisation minime (je pense à leur systèmes nerveux qui sont parfois tellement conservés d’un individu à l’autre que leur neurones sont identifiés et portent donc des numéraux ou noms, ex : le homard http://www.bio.brandeis.edu/marderlab/research.html )...
A ignare, ignare et demi
PS : il est clair que je ne comprends pas tjs ou vous voulez en venir...
D’abord, ce n’est pas ma vision que je présente, le réductionnisme est un paradigme issu du monde des biologistes généticiens
Alors c’est quoi le localisationnisme ?
Pour votre culture c’est gratuit...
http://www.memoireetvie.com/medias/desafferentation.htm
Sans doute aussi, à l’influence des idées en cours jusqu’à une période récente. La théorie « localisationniste » du fonctionnement du cerveau, héritée de Broca au siècle dernier, faisait schématiquement considérer le cerveau comme une sorte de réseau câblé, une structure définitivement figée et incapable de toute transformation, un assemblage de neurones à courte vie ne se reproduisant pas et donc, avec le temps, voués a une raréfaction toujours plus massive.
Cette conception a été largement remise en cause ces dernières années.
Actuellement, sans rejeter la théorie localisationniste, sans en nier la précision, sans remettre en cause la stabilité du câblage de base, on peut dire que le cerveau est une structure dynamique, en constant remaniement sous l’influence de facteurs multiples, extrinsèques ou intrinsèques.
Cette vision nouvelle a pu se développer grâce aux progrès récents des connaissances biologiques dans le domaine de la plasticité neuronale.
Ce concept, qui peut paraître évident aujourd’hui, a été unanimement rejeté par la communauté scientifique jusqu’au début des années 80.
L’approche réductionniste est tjs nécessaire dans un premier temps, pour appréhender un phénomène complexe, puis les théories évoluent...la science quoi !
Ignare tu es, ignare tu resteras...
21/06 02:19 - rod
En passant, moi je sais ce que votre ami Paley défend comme théorie, c’est (...)
21/06 02:11 - rod
Voilà ce que Doc pense de votre texte... par docdory (IP:xxx.x0.180.200) le 19 juin 2007 à (...)
20/06 22:00 - Bernard Dugué
Pas facile à gérer un troll dont l’intention est de nuire Le texte sur Paley n’est (...)
20/06 21:43 - rod
Alors comme je suis un peu plus honnête que toi visiblement voici ton post Dans sa Théologie (...)
20/06 21:38 - rod
lol comme tjs tu replaces dans le contexte...encore une de tes qualités...
20/06 20:56 - Bernard Dugué
Rod, mon billet se veut une réflexion sur la connivence entre les approches scientifiques et (...)
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