Mes insultes furent le fruit d’un pétage de plombs pour lequel je plaide coupable, déclenché par la violence d’attaques personnelles qui se sont abattues sur moi dès le départ, par le quatuor infernal Snoopy, Bozz, Calmos et le Très Grand Icks Pey, votre grand ami.
Quant à votre article sur Cesare Battisti, je m’en souviens très bien. J’y avais réagi en dénonçant sa malhonnêteté : vous aviez occulté certaines informations indispensables pour bien comprendre l’ensemble du dossier. Le problème n’était donc absolument pas que je ne partageais pas votre opinion. Mais que vous la présentiez d’une façon partiale en taisant soigneusement certains faits. Par exemple, vous parliez du paraplégique en « omettant » de dire que ce n’était pas Battisti qui avait tiré la balle !
Il y avait d’autres exemples. Retrouvez-nous le lien si vous voulez, on peut en rediscuter. Journaliste citoyen ou pas, on ne doit pas pratiquer la désinformation. Je vous mets au défi de me prendre en défaut en la matière. Mes articles sont militants et engagés, mais jamais malhonnêtes. Ou alors expliquez-moi précisément en quoi, si vous le pouvez. Je réponds à toute critique argumentée.
Pas comme celles de votre grand ami Icks Pey qui préfère, au lieu de manier l’argumentation, discréditer et ridiculiser son contradicteur avec un immense mépris. Ce que vous trouvez pour votre part génial ! Grand bien vous fasse.
Mais au fond, est-ce là le fond du problème : vous n’auriez jamais pardonné que j’aie étalé au grand jour la malhonnêteté de votre article sur Battisti et m’en voudriez depuis ?