J’ai travaillé dans le domaine des bureaux d’études et de la gestion de l’énergie.
La lyonaise et la générale des eaux ont été épinglées plusieures fois dans des affaires de corruption. c’est pour cela qu’elle ont changé de nom depuis. C’est un phénomène constaté. Dans ce domaine on vérifie que les société de services sont accompagnées d’une certaine culture. je n’en dirai pas plus sur un forum public, mais lisez un peu les journaux, ceux qui sont encore libres.
Concurence ?
A ce niveau là, rapidement il n’y a plus que des monopoles. cette histoire de concurence qui assaini le marché est un dogme.
c’est peut être valable au niveau de l’épicier du coin, mais quand on est au niveau des World Company ça ne fonctionne plus depuis longtemps.
Les fusions acquisitions ainsi que les nombreuses relations personnelles dans la caste des dirigeants et gros actionnaires fait qu’il y a plus d’entente que de concurence. le reste est contes de fées pourmieux exploiter les employés.
Ceci dit, je ne suis pas géné par une augmentation des prix de l’énergie en soit. Elle est nécessaire pour économiser l’énergie, la pollution, les gaz à effet de serre, les déchets nucléaires, limiter les transports routier (qui créent une concurence très nuisible), etc..
Je pense qu’une bonne augmentation des prix sert à investir dans des technolgies plus sobres en énergie, ou pour les producteurs, dans les énergies renouvellables. Dans les faits ce n’est pas ce que font les lyonnaise et générales des eaux new-look qui investissent à court terme, plutôt dans des groupes diesels, centrales à carburants fossiles etc..
la « concurence libre et non faussée » ne les amène pas du tout dans les faits à des investissement écologique à part dans la pub.
L’argent qui sera gagné par ces société servira à enrichir des riches et augmentera les différences de pouvoir.
Ce sont donc les conséquences environnementales et politiques, bien plus essentielles, qui vont êtres négtives avec cette logique libérale. c’est ce qu’on observe partout et il n’y a pas de raisons que ça ce passe mieux chez nous.
La seule entreprise nouvelle de ce secteur qui soit probablement acceptable est enercoop.
Le reste est à fuir.
Autre remarque : quand le rail était privé en France, chaque companie avait son réseau. il y avait interconnction, mais on n’a pas mis au point ce truc artificiel, construit de toutes pièces pour coller au dogme néo-libéral qu’est le libre accés au réseau.
Autre expérience : les chemins de fers britanniques sont en état catastrophique depuis leur tatcherisation.