Un sujet bien épineux ! Le coût social de chaque condamnation n’est pas semble t’il évoqué et pourtant il est énorme ! ... rien qu’en frais de fonctionnements, chaque prisonnier coûte une bonne centaine d’euros par jour à la société ! sans compter les frais des bâtiments... et encore moins ceux engendrés en aval (famille, amis, coûts de travail perdu, etc...).
Quand, au lieu de suivre une politique du « toujours plus » (appliquée ostensiblement aux plus démunis), que ne renierait vraissemblablement pas François de Clossets, la justice pourtant parfaitement capable d’évaluer les implications de sa politique, prendra t’elle les mesures pour endiguer la criminalité là où elle est la plus efficace ? (pour ceux que celà intéresse ; cf « Un monde sans loi », collectif de magistrats européens).
Bien sûr, ceci aurait des effets... importants ! et aurait bien besoin d’une approche... fort différente !
Les options politiques actuelles nous montrent au contraire que le discours démagogique augmente en intensité... malheur aux boucs-émissaires ! qui payeront le prix fort afin de cacher les vrais problèmes que la crise mondiale qui s’amorce ne voie pas chez monsieur tout-le-monde, la réalité très prosaique d’une réalité effarante de simplicité.
la sûreté n’est que le produit phare cachant l’ensemble aux bénéfices plus juteux ! C’est l’arme dont se sont toujours servi les dirigeants pour aliéner le peuple lorsque celà leur apparaissait nécessaire. Les nazis ont très bien manoeuvré dans cette optique, notre monde dit ’moderne’ voit aujourd’hui une succession d’évènements qui nous indiquent que le même chemin se redessine sous nos pieds !
Je ne chanterais pas « Amis entends-tu le bruit des canons dans la plaine... » mais, déjà, je me dis que les soubressauts que vont connaître nos sociétés... risquent bien de voir le jour avant que nous ayons terminé le cycle normal de notre vie (j’ai 60 ans)... si nous ne retroussons pas nos manches et ne trouvions pas très vite réponse en terme d’utilisation d’énergies renouvelables à plus ou moins brève échéance !
A bon entendeur, bien cordialement.