LOL la milice sous armee avec des RPG derniers cris venus de Russie, capables dans de percer l’armure active des Merkava qui sont consideres parmi les meilleurs chars au monde.
Des missiles Kornet et j’en passe...
Les bounkers avec des raiseaux souterrains, des appareils de vision nocturne. Des missils sol-sol de portee de 200km. Des installations radars de l’armee libanaise. Des drones. Des missiles sol-mer de portee de 30 km guidee par ces radars.
Faut arreter Madame, si vous connaissez rien en armement et en guerre arreter de repeter des aneries qu’on vous a transmis. Le Hezbollah etait arme au dernier cris de la guerre assymetrique.
Hezbollah a ete tres mechamment saigne et il vient de le reconnaitre en s’excusant devant le Liban du declanchement de la guerre. Un victorieux ne fait jamais de choses pareilles surtout au proche orient. Lisez le commentaire d’un specialiste milirtaire cela vous evitera de dire des conneries a l’avenir :
http://www.ludovicmonnerat.com/archives/2006/08/
août 19, 2006 L’illusion de la faiblesse
La capacité du Hezbollah à survivre aux assauts partiels de Tsahal a relancé l’intérêt pour les mouvements paramilitaires pratiquant la guérilla et le terrorisme. La Syrie a annoncé son intention de créer un mouvement similaire, le monde arabo-musulman acclame ceux qui ont « tenu tête à l’entité sioniste », alors que nombre d’experts pontifient sur la prétendue supériorité des forces irrégulières face aux armées conventionnelles. De toutes parts est propagée l’impression d’une défaite militaire et stratégique d’Israël, coupable d’avoir gravement sous-estimé les capacités du Hezbollah et de s’être attaque à plus fort que lui. On en viendrait presque à oublier les pertes terribles de la milice chiite, les combattants aguerris et les stocks de munitions qu’elle mettra des années à remplacer, et l’annihilation qu’elle a frôlée !
Au-delà de la capitalisation politique de cette saignée, à laquelle Nasrallah et consorts se livrent aujourd’hui mais qui sera bien vite diluée dans les tourbillons de l’actualité, il est bon de rappeler certaines réalités. Premièrement, la branche armée du Hezbollah est largement équipée et entraînée comme des forces non conventionnelles de type militaire, avec par exemple des appareils de vision nocturne, des armes de précision et des missiles antichar très performants ; une organisation tirant des TOW ou des Kornet ne répond pas vraiment au stéréotype de la guérilla populaire. Autrement dit, le Hezbollah a mené un combat d’infanterie basé sur l’usure, les actions dispersées de petites unités s’appuyant sur un terrain renforcé, le cumul des accrochages censés être furtifs et mortels pour une armée lente et lourde.
Le problème, c’est que la plupart des unités de Tsahal n’ont pas tardé à faire la différence entre le Hezbollah et les bandes armées palestiniennes, entre des unités irrégulières prêtes à se battre jusqu’à la mort et des essaims de combattants majoritairement ineptes, de sorte que ces accrochages ont presque toujours tourné au bain de sang pour la milice chiite. Si Israël a abusé de la puissance aérienne et en a payé le prix politique, son emploi de l’infanterie - bien plus que des blindés - contre le Hezbollah a été judicieux. La réactivité, la mobilité et la précision des fantassins israéliens leur ont permis de sortir vainqueurs d’un combat très difficile : celui consistant à entrer dans un secteur lourdement fortifié, face à un adversaire préparé depuis des années à le défendre, pour rechercher ce dernier et le détruire.
Deuxièmement, le sacrifice quasi automatique des combattants n’est une méthode applicable que lorsqu’un immense réservoir est disponible, que si un peuple entier est prêt à se battre jusqu’au bout. Malgré les perceptions propagées dans ce sens par le Hezbollah, ce dernier ne constitue qu’un pan très minoritaire de la société libanaise ; et si cette dimension sociétale lui confère une force considérable, elle n’existe que par la faiblesse du Liban. Conçu comme un Etat dans l’Etat, avec son armée, sa télévision officielle, ses services sociaux, ses filières d’éducation (et d’endoctrinement), le Hezbollah est une structure parasitaire qui exploite une situation donnée, se protège derrière la souveraineté libanaise en cas de besoin, mais ne doit sa survie qu’au manque de capacités ou de volonté des véritables Etats. A commencer par celui d’Israël.
C’est le troisième élément à prendre en compte : les tergiversations politiques et la timidité opérative des Israéliens sont la principale cause de leur succès limité. Ils ont réagi rapidement face à l’ouverture stratégique que le Hezbollah leur a fournie sur un plateau, mais ils n’ont pas su pleinement adapter le rythme et la modalité des opérations au caractère ponctuel de cette ouverture. Ce qui est une constante : dans un affrontement du fort au faible, ce sont les faiblesses du fort qui sont décisives, et pas les forces du faible. Le Hezbollah a tout jeté dans la bataille, a sacrifié ses meilleurs hommes comme ses meilleurs équipements, pendant qu’Israël, malgré un soutien populaire très fort, s’est longtemps escrimé à éviter tout ce qui pouvait ressembler à une opération massive. Jusqu’à accepter une résolution de l’ONU qui place la communauté internationale devant ses responsabilités.
Derrière les grandes déclarations du monde arabo-musulman se cache la réalité de cette retenue, et de son raisonnement essentiel : la volonté de ne pas être lié, de conserver toute sa liberté d’action pour faire face aux prochaines étapes du conflit. Déjà, les Israéliens ont tiré les leçons de leur imprudence en relançant les projets de défense antimissile et antiroquette sur leur frontière nord ; déjà, ils étudient la manière de mieux protéger leurs chars contre les missiles modernes, tout en exploitant la mine de renseignements capturée. La carte Hezbollah ayant été jouée, maîtrisée, analysée et bientôt totalement contrée, elle perd son intérêt à court et moyen terme dans le jeu iranien. Au contraire, le jeu israélien reste dans l’ombre, ses capacités incertaines, sa volonté imprévisible, surtout en rapport avec un jeu américain qui peut soudain abattre ses propres cartes.
10/04 18:08 - Daniel Robert
Tout a fait ! Ce n’est pas aux europeens de payer les dommages a Gaza et au Liban. Cela (...)
08/09 20:16 - Christophe
" Lebanon : Hezbollah Rocket Attacks on Haifa Designed to Kill Civilians, Anti-personnel Ball (...)
08/09 19:43 - js
Article totalement idéologique et ininteressant. L’autorité palestinienne est corrompue, (...)
05/09 16:55 - Ariel Sharon
Les armes chimiques sont les armes utilisant des gaz. Or Israel n’as jamais utilise de (...)
05/09 13:37 - Rocla
C’ est d’ ailleurs pour ça que le créateur a positionné la bouche de ces personnes (...)
05/09 11:49 - Aïcha Qandicha
Ariel, si le Hezbollah était sur-armé c’est tant mieux pour lui ; en face, on on peut pas (...)
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