Commentaire de La Taverne des Poètes
sur Jean-Michel
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« Te voici maintenant enfoulardé de rues où paissent des chevaux parfois tranquilles à peine plus léger que ce silence impersonnel qui fait ma mort aux antipodes... »
Extrait de « Les portes électriques » de Gil Refloch, poème dédié à Jean-Michel Caradec dont le poète fut l’ami.
Derniers commentaires
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28/07 17:46 - La Taverne des Poètes
Léon, je vous conseille « Ile » et « Ma Bretagne quand elle pleut » mais à écouter en intégral (...)
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25/07 22:13 - claude
bel hommage à ce chanteur qui avait disparu de nos mémoires... merci, j’avais oublié (...)
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25/07 18:07 - La Taverne des Poètes
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25/07 17:25 - La Taverne des Poètes
Ironie du sort, Gil Refloch habite rue Jean-Michel Caradec à Plounéour-Trez. Par contre, (...)
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25/07 17:24 - joel
Salut la Taverne, merci pour cet hommage et ce rappel. Son île, un coin où ça bastonne sec (...)
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25/07 17:22 - La Taverne des Poètes
« Te voici maintenant enfoulardé de rues où paissent des chevaux parfois tranquilles à peine (...)
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