@Jason
Il faut relire l’article de Libé (Reuters) ci-dessus. A la fin il est écrit :
« Les documents saisis font apparaître que c’est en connaissance de cause que d’emblée des éléments cruciaux de tolérance ont été dissimulés aux professionnels de santé pour ne pas casser la dynamique vaccinale », ajoute l’auteur.
Le Dr Marc Girard dénonce également le fait que « l’administration sanitaire a intensivement collaboré avec les fabricants de vaccins quand elle ne leur a pas carrément passé la main ».
Il est notamment reproché aux laboratoires Pasteur-Mérieux MSD (devenu Aventis Pasteur-MSD) et SmithKline Beecham (devenu GlaxoSmithKline) d’avoir exagéré le nombre de contaminations en France et d’avoir dramatisé les dangers du virus afin de justifier une vaccination de masse allant bien au-delà des seuls groupes à risque.
Le Dr Girard reproche à plusieurs décideurs d’avoir été en situation de conflit d’intérêt lorsqu’il leur a fallu prendre une décision concernant la campagne de vaccination. Il souligne que les études innocentant les vaccins pour leurs effets secondaires ont été financées par les industriels.
OK Jason, parlons des risques : ceux liés à l’hépathite b gonflés par les fabricants, ceux concernant les effets secondaires liés au vaccin et évalués grâce aux financements des mêmes fabricants. Cela ne vous interpelle pas ?