GILLES,
bien sûr. l’Occident ne s’est jamais fixé comme objectif d’émanciper les Africains.ceci dit il serait aussi faux de croire à l’objectif contraire .le cas japonais est exemplaire à ce propos ,car bien qu’il ait été mis sous tutelle américaine ,militairement,le Japon reste une formidable réussite non-occidentale,la seule pour le moment,et les Américians ne s’y sont pas opposés.
le problème Africain n’est pas celui de sa faiblesse mais celui de sa culture « inappropriée » pour surmonter les défis posés par le le choc avec la civilisation occidentale.et on ne peut tout de même pas empêcher les cultures de s’entre-choquer.
l’histoire ne s’occupe jamais du sort des hypothèse non-réalisées, c’est aussi inutile qu’encombrant.
le problème africain est avant tout idéologique. les noirs ne disposent pas de réponses adéquates qui leur permettent de trouver des soultuions qui sont de l’ordre de la civilisation : qu’est-ce qu’un Etat,une Nation, une politique, des valeurs communes, une religion commune,une écriture propre,une identité,etc.
les Afrcicains n’ont aucune réponse valable devant ces enjeux.
la culture arficaine n’a pas fait le choix de cette orientation idéologique. c’est sans doute ce qui pousse l’homme noir à se caricaturer quand il se fait croire capable d’imiter son ex-colon.
le Japon et la Chine,malgré quelques carences, repose sur une solide culture, qui n’a rien à envier à l’Occident.
d’ailleurs personne parmi nous n’oserait assimiler un chinois ou un japonais à un occidental, même de façon caricaturale. et pourtant nous sentons confusément « l’esbrouferie » qui se cache derrière un Africain quand il nous parle de politique ,d’indentité ,de nation,etc.
y a un truc qui colle pas quand on se trouve en Africque et qu’on se pose des questions apparues en Occident.