bonjour,
tant qu’à faire... j’ai eu cet appel..
j me suis dit j vais vous le balancer, çà fera causer d’autres petites girafes rebelles...
bonne soirée et merci pour eux !!
Les horreurs continuent : Sarkozy se charge maintenant de fournir les orphelinats. Ci-dessous un communiqué RESF. Il faut stopper cette horreur : on téléphone, on faxe et on maile tant que Siaka n’a pas retouvé ses parents en liberté. Richard
Adresse postale : C/o EDMP 8 Impasse Crozatier 75012 Paris - [email protected] / www.educationsansfrontieres.org Contact sur ce dossier : Armelle Gardien 06 89 49 48 47, Pablo Krasnopolsky 06 33 53 62 21, Richard Moyon 06 12 17 63 81 5 septembre 2006
LA CHASSE AU PETIT ENFANT Siaka a deux ans, il est Malien. Il est placé à l’orphelinat par la volonté du ministre de l’Intérieur. Expulsés le 17 août du squat de Cachan, ses parents avaient accepté l’hébergement provisoire à l’hôtel Ibis d’Orly que leur proposait la préfecture du 94. Le 1er septembre, nouvelle évacuation : les ex-squateurs en situation régulière sont envoyés vers d’autres hôtels, plus éloignés encore de leurs lieux de vie et de travail. Les sans papiers sont raflés et placés en garde à vue puis en rétention. Parmi eux, M. et Mme Doumbia, les parents de Siaka. Le centre de rétention du Mesnil-Amelot n’étant pas équipé pour recevoir des enfants, le petit garçon est arraché à ses parents et placé dans un orphelinat dépendant de l’Aide sociale à l’Enfance. Ces faits, monstrueux pour les gens ordinaires, ne sont ni un accident, ni une bavure : il s’est trouvé un ministre pour les décider, des hauts fonctionnaires pour les organiser, des fonctionnaires pour les exécuter. Quand, probablement indigné par cette situation, un juge a décidé de libérer les parents pour qu’ils retrouvent leur enfant, il s’est trouvé un procureur pour bloquer sa décision et maintenir les Doumbia en rétention et Siaka à l’orphelinat et une cour d’Appel pour trouver que ce n’est que justice. Les choses en sont là. M. et Mme Doumbia sont en rétention pour 15 jours renouvelables à moins qu’ils ne soient expulsés avant. Ces événements qui sont la conséquence logique de la politique démagogique du gouvernement sur la question de l’immigration sont inacceptables. Le RESF appelle tous ceux que ces faits révoltent à faire connaître leur sentiment en s’adressant directement aux responsables au Cabinet du ministre de l’Intérieur, au moins une fois par jour jusqu’à ce que Siaka et ses parents soient libérés et réunis. Standard ministère de l’Intérieur : 01 40 07 60 60 (demander le Cabinet du ministre) Fax ministère de l’Intérieur : 01 40 07 21 09 Fax directeur de Cabinet :01 40 07 13 90 Mail directeur de Cabinet : [email protected] et [email protected] Mail du conseiller à l’Immigration : [email protected]
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