Depuis la création de la sécurité sociale nous nageons dans l’hypocrisie.
La démarche a toujours été la même : faire financer les marges bénéficiaires honteuses des laboratoires pharmaceutiques par les cotisations sociales. La sur-consommation médicamenteuse en est la conséquence. Seulement voilà, une bonne partie de ces médicaments mis sur le marché provoques des effets secondaires qui eux-mêmes nécessitent des traitements et cette escalade accentue le trou du puit sans font des dépenses de santé.
Un tier, pas moins, de nos élus locaux, régionaux ou nationaux sont des professionnels de la santé et la plus part du temps on nous colle un toubib comme ministre.
La conséquence c’est que ces dévoués VRP des laboratoires bloquent avec hargne et mauvaise fois tout ce qui dans les médecines parallèles pourrait permettre une véritable politique de prévention basée sur la recherche des équilibres de terrains. Notre médecine moderne ne sait que traiter la maladie, et c’est tout ce qui l’intéresse, parce que cela rapporte. Elle « rigole » de l’homéopathie, de l’acupuncture, et toute autre forme de médecine basée sur l’a recherche de l’équilibre de santé. Or cet équilibre repose sur la nourriture, l’environnement social et écologique, une structure physique que connaissent bien les ostéopathe (tient encore une hérésie), et un psychisme détendue que bien des techniques de développement personnel connaisent. Seulement voilà même notre bon peuple n’a pas droit à se développer personnellement. Tous les acteurs de ces méthodes-là sont poursuivis pour charlatanisme, dérives sectaires.
Mais l’industrie pharmaceutique n’est-elle pas une secte dont les grands prêtres ne sont autres que les médecins et le grand ordre qui les régentent ?
Il faut dénoncer le serment d’hypocrite et revenir d’urgence au vrai serment d’Hypocrate. Celui qui pensait que le terrain est tout et qui nous proposait cette question fondamentale :
« Si tu es malade cherche à savoir ce que tu as fait pour le devenir ».
Arrachons des mains tentaculaires des laboratoires pharmaceutiques ce qui est notre bien le plus précieux, notre santé.
Ils ont montré leurs incompétences.
Prenons notre santé en main.
Redevenons acteur de notre propre histoire.
C’est faisable.