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Commentaire de LNPLV

sur Vaccinations : les premières questions de l'enquête


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LNPLV 10 août 2007 16:06

1 - Les vaccins sont-ils vraiment efficaces et utiles ?

Nous nous fonderons sur la diphtérie et sa vaccination pour étayer nos propos :

Extrait du livre « Vaccinations Les vérités indésirables »

Du Professeur Agrégé de biologie Michel Georget.

ed. Dangles

Préfacé par le Professeur Pierre Cornillot doyen fondateur de la faculté de médecine de Bobigny.

" Pourquoi la diphtérie ? c’est un vaccin toujours pratiqué et toujours obligatoire en France seul pays d’Europe où il est obligatoire. La démonstration de son inefficacité ne requiert pas 30 pages de lecture. Si je voulais traiter la même manière tous les vaccins il me faudrait 400 pages que vous ne liriez pas, donc ces 7 pages sont la démonstration pour un vaccin. Je peux faire la même chose pour les autres.

Vous y trouverez les références des études citées dans des articles publiés dans des revues scientifiques à comité de lecture que « Voltaire » ne pourra pas nier, tout ce qui écrit ici est vérifiable et donc incontestable.

Les chiffres pour la France sont extraits (des données sanitaires de l’annuaire statistique de la France)

3. La diphtérie

Cette maladie a été la terreur des mères, tout particulièrement dans les années 30 et 40. C’est une maladie bactérienne, certes, mais dont la bactérie causale reste localisée au niveau de la gorge (« fausses membranes ») et agit par la toxine qu’elle sécrète. Le vaccin, découvert par Ramon en 1923, est donc logiquement constitué par une toxine atténuée, ou anatoxine, qui, injectée, fait produire des anticorps antitoxiques neutralisants. C’est un des vaccins qui a été le plus largement appliqué, d’autant qu’il a été très vite associé à celui contre le tétanos.

Curieusement, alors que l’O. M. S. a toujours recommandé ce vaccin antidiphtérique pour les pays tempérés où sévissait la maladie, ses experts précisaient que « cette recommandation ne s’applique pas aux pays tropicaux où l’infection par bacille diphtérique existe, mais n’entraîne pas d’ordinaire de symptômes cliniques (1) ». On se demande bien alors pourquoi cette vaccination a été incluse dans le programme de vaccination universelle des enfants.

Les faits

Il y a des médecins qui craignent et fuient

la contre-épreuve ; dès qu’ils ont des observations qui

marchent dans le sens de leurs idées, ils ne veulent

pas chercher des faits contradictoires dans la crainte

de voir leurs hypothèses s’évanouir.

Claude Bernard.

(Introduction à l’étude de la médecine expérimentale.)

L’évolution de la diphtérie a fait l’objet d’âpres discussions entre les tenants de la vaccination (Ramon en tête) et ceux qui, au contraire, n’étaient pas convaincus de son efficacité et dont le plus représentatif

fut un médecin lyonnais, le Dr Rendu. Bien que ce dernier ait développé des arguments difficilement réfutables, c’est la thèse de Ramon qui a prévalu et, par la suite, a servi de référence pour d’autres vaccinations. Mais avant d’envisager pour quelles raisons, même à partir de données identiques, les conclusions ont pu être opposées, examinons l’évolution de la maladie dans divers pays d’Europe à commencer par le nôtre.

Le nombre de cas de diphtérie enregistrés en France (la diphtérie est une maladie à déclaration obligatoire) entre 1912 et la fin des années 60 où la maladie avait une incidence très faible. Nous constatons que dans les années 1910-1920, 12 à 15000 cas étaient enregistrés chaque année. À partir de 1928 et jusqu’au milieu des années 30, le nombre des cas oscillait autour de 20000 avant de monter en flèche à partir de 1941 pour atteindre et même dépasser 45000 cas annuels en 1943-1945. Dès la fin de la guerre, la diphtérie a diminué très rapidement.

Dans cette évolution, comment se situe la vaccination antidiphtérique ? Le vaccin date de 1923 et son application commença à se répandre en 1930 dans les collectivités d’enfants, notamment dans les écoles parisiennes. La vaccination devint ensuite obligatoire au service militaire (loi de 1931), puis pour l’ensemble de la population (loi de 1938). Des campagnes massives furent organisées à partir de 1942 et appliquées principalement dans la zone occupée, la vaccination antidiphtérique ayant été rendue obligatoire en Allemagne en 1941. Cela n’empêcha pas l’incidence de la diphtérie de tripler et le nombre de décès de doubler jusqu’en 1945.

Comme pour toutes les maladies, il est nécessaire de disposer de témoins non seulement dans le temps (évolution avant et après vaccination) mais aussi dans l’espace (que s’est-il passé dans les autres pays ?). L’un des exemples les plus frappants est celui de la Norvège(2). Dans ce pays, de 1919 à 1939, l’incidence est passée de 16771 à 54 cas. Les Madsen’27" précisaient même que le nombre des décès était tombé de 555 en 1908 à 2 seulement en 1939. Ainsi, alors même que la vaccination était très peu pratiquée dans ce pays, il y a eu une régression de 99,6 % des cas et des décès. La vaccination a été rendue obligatoire par l’ordonnance du 10 octobre 1941 (sans doute là aussi en raison de l’occupation allemande). Malgré cette obligation et une immunisation généralisée, on comptait 22787 cas en 1943 avec 747 décès, soit une incidence multipliée par plus de 400 par rapport à 1939.

À vrai dire cette vague épidémique s’est produite dans toute l’Europe. comme le montre l’étude des Madsen (3). L’évolution de la diphtérie a été la même en France, Hollande, Finlande, Norvège, Suède et au Danemark avec un maximum entre 1943 et 1945. Ces auteurs ajoutaient dans leur commentaire : « La courbe suédoise coïncide pratiquement avec celle du Danemark et en 1954, bien que la population de la Suède soit deux fois plus importante, un cas seulement fut rapporté respectivement en Suède et au Danemark. Ce point est remarquable quand on considère qu’en Suède l’immunisation prophylactique contre la diphtérie a été considérablement moins employée qu’au Danemark. » En France, à la même époque (1954), malgré une vaccination largement appliquée, on dénombrait encore 2513 cas dont 91 décès ! Cela mérite vraiment réflexion, d’autant que le sérieux de l’étude des Madsen a conduit l’0. M. S. à en reprendre les résultats dans un de ses opuscules sur les vaccinations (4)

En Allemagne, pays qui connaissait depuis longtemps une forte endémie diphtérique, les faits sont tout aussi éloquents. La vaccination y fut rendue obligatoire en 1941. Dès 1942, 80% des enfants berlinois étaient vaccinés. Or, le taux de mortalité pour 100000 habitants sextupla en 5 ans de vaccinations obligatoires, passant de 12,4 décès en 1940 à 74,8 en 1945.

Après la défaite de 1945, l’échec de cette politique vaccinale, associé à la pénurie de moyens financiers, a amené l’Allemagne à ne pas la poursuivre. Certes, des vaccinations ont continué à être pratiquées en médecine privée mais la couverture vaccinale dans ce cas est toujours bien inférieure au niveau considéré comme protecteur pour une population. Cela n’a pas empêché la diphtérie de chuter de façon vertigineuse alors que tout pouvait faire craindre le contraire (appauvrissement du pays, destructions et problèmes de logement, promiscuité, réfugiés, sous-alimentation).

Commentant ces faits, Rendu(5) écrivait : « Divers ministres de la Santé, tant en France qu’en Angleterre, ont calculé les milliards de francs d’économies que la vaccination était censée avoir réalisés en faisant reculer la diphtérie et en diminuant, de ce fait, les frais d’hospitalisation incombant au Trésor ; les autorités médicales allemandes, en renonçant aux vaccinations systématiques pendant la décrue épidémique de 1945 à 1952, sont arrivées aux mêmes résultats, mais ont économisé, en plus, les frais toujours considérables de propagande et de campagnes vaccinales. »

On pourrait ainsi multiplier les exemples à travers le monde. Peut-être aurait-on dû prendre en considération et approfondir les travaux de Zdrodovski et Halapine qui, dès 1936, avaient montré que l’injection d’anatoxine diphtérique donnait des résultats variant dans des proportions allant de 1 à 100 et laissait réceptifs à la maladie les sujets inaptes à s’immuniser. On peut donc douter de l’impact véritable de la vaccination antidiphtérique dans notre pays d’autant que de 1945 à 1950 (en pleine décroissance) le déclin de la maladie a été aussi accusé chez les nourrissons (qu’on ne vaccinait pas dans la première année) que chez les enfants de 1 à 14 ans chez qui la vaccination était très répandue. Il est vrai qu’on pourrait objecter que les nourrissons ont été protégés par la diminution du nombre de malades mais les observations ont montré que dans l’immense majorité des cas la contamination ne se faisait pas par les malades mais par des porteurs sains de germes.

La manipulation des faits

Dans ces conditions, comment attribuer la régression de la diphtérie à la vaccination ? Plusieurs subterfuges, dénoncés régulièrement par Rendu, ont été utilisés.

Un premier artifice, celui-là même utilisé par Pasteur dans ses statistiques sur la rage, consiste à mettre dans la catégorie des non-vaccinés les sujets qui contractent la diphtérie avant d’avoir reçu les trois injections. Rendu (6)a analysé les cas publiés à partir d’expériences vaccinales chez les militaires pour lesquelles on disposait des dates précises de vaccination et d’apparition des cas de diphtérie. Ainsi, chez 2018 militaires vaccinés, 19 cas de diphtérie sont apparus (9,4%o) et 17 cas parmi 1974 non-vaccinés (8,6°/°°). La différence n’est pas très importante quoique légèrement en faveur des non-vaccinés. Seulement voilà, sur les 19 cas survenus chez les vaccinés, les immunologistes en ont éliminé 14 sous prétexte que 12 sont apparus pendant les opérations de vaccination (entre la 1re et la 3e injection) et 2 au cours des quatre semaines qui ont suivi la dernière injection. Ces 14 cas étant apparus en cours d’immunisation sont considérés comme survenus chez des individus non vaccinés. Grâce à ce subtil jeu d’écriture le nombre des cas survenus dans le groupe des vaccinés tombe de 19 à 5(2,5%°) et celui des cas dans le groupe des non-vaccinés s’élève de 17 à 31 (15,7%°). Les auteurs de l’expérience peuvent alors affirmer que la diphtérie est 6 fois plus fréquente chez les non-vaccinés que chez les vaccinés.

Un autre moyen de diminuer l’impact de la maladie dans le groupe des vaccinés consiste à pratiquer le « rediagnostic ». Il s’agit d’éliminer des statistiques les cas bénins de diphtérie survenant chez des vaccinés en les qualifiant d’angines banales chez des porteurs de germes. Ainsi, en Angleterre, rien que pendant les années 1944 à 1947, cette technique a permis d’éliminer 24655 cas. Le pourcentage de ces défalcations a même atteint 46 % en 1947 (7).

Progressivement, en s’éloignant de la crue épidémique des années 40, l’argumentation s’est modifiée. Ainsi, dans certaines publications (3) on étale la morbidité record des années 40 sur les dix années précédentes en calculant la moyenne des cas.

Prenons le cas de la France. De 1935 à 1945 la moyenne annuelle des cas s’est élevée à 25500 (ce qui est exact) et l’on poursuit en disant que la vaccination a commencé en 1945 (ce qui est faux) et l’on illustre ainsi parfaitement l’impact de la vaccination sur la décrue de la diphtérie.

Mais ce procédé est malhonnête car il masque le fait, qu’en dépit des campagnes de vaccinations menées à partir de 1938 et surtout de 1942, la diphtérie n’a cessé de progresser jusqu’en 1945.

Plus direct encore est le moyen qui consiste à occulter complètement la période de guerre et d’avant-guerre et à affirmer que la vaccination a commencé en 1945.

C’est ce procédé du choix des chiffres ou des années que critiquaient les Madsen (3) à propos d’un article des Publications des Nations unies de mars 1956. Ils écrivaient, ce numéro « montre combien il peut être déroutant quand des chiffres isolés sont sélectionnés sur une courbe épidémique pour prouver l’effet d’une mesure de santé. [... ] Les chiffres suivants concernant la Norvège sont cités comme preuve de la chute de l’incidence de la diphtérie qui a suivi l’immunisation :1908 = 555 décès par diphtérie ; 1952 = 6 décès, mais l’illustration est quelque peu changée si on ajoute qu’en 1939, en dépit d’une immunisation incomplète, seulement 2 décès sont survenus, alors qu’après une campagne d’immunisation plus étendue 747 décès sont survenus en 1943. »

Mais l’autorité d’une sommité médicale ne saurait être mise en doute. Quand le P` Lépine(8) écrit que la vaccination de masse contre la diphtérie n’a commencé qu’en 1945, tout le monde le croit et c’est ainsi que les livres de sciences naturelles apprennent aux élèves comment la vaccination a fait disparaître la diphtérie. Ce même artifice est reproduit par exemple dans un manuel destiné aux futures infirmières (9) Comment les professionnels de santé de cette fin de siècle sauront-ils que cette vaccination n’a probablement été pour rien dans la disparition de la diphtérie ?

Faut-il pour s’en convaincre citer encore l’0. M. S.(4) qui relate :« II est vrai, cependant, que la fréquence des cas nouveaux de diphtérie peut augmenter et diminuer indépendamment des programmes de vaccination. Il y a une centaine d’années (1858), Sir John Simon, premier titulaire du poste de Médical Officer au Conseil privé de Grande-Bretagne, disait : « La diphtérie est une maladie qui, bien qu’elle ait été autrefois répandue, est presque inconnue de la génération actuelle des médecins britanniques ». » Or, à cette époque le vaccin n’existait pas.

D’ailleurs a-t-on un jour testé véritablement l’efficacité de cette vaccination ? La réponse est « non ». L0. M. S.(4) le dit elle-même : « Bien que l’immunisation par l’anatoxine diphtérique se soit progressivement généralisée dans le monde entier au cours des 30 dernières années et qu’elle soit aujourd’hui [en 1962] universellement pratiquée pour prévenir la diphtérie, il est impossible de trouver trace d’un essai pratique strictement contrôlé de ce produit. »

Ces dernières années, la diphtérie est réapparue dans les pays de l’exU. R. S. S., ce qui n’a rien de surprenant étant donné l’état de délabrement des structures sociales et de précarité des populations. La vaccination revient donc au goût du jour, mais pourquoi serait-elle plus efficace en cette fin de siècle qu’il y a 50 ans ?

Comment traiter la diphtérie ?

Pendant longtemps, la diphtérie a été traitée par sérothérapie c’est-àdire par injection de sérum prélevé sur des chevaux préalablement immunisés par injection de toxine diphtérique. Ce procédé découvert par Roux, collaborateur de Pasteur, ne fut pas aussi efficace qu’on l’espérai (3) et surtout il a été à l’origine de nombreux accidents anaphylactiques.

En 1932, un humble médecin de campagne, le Dr. Neveu, qui exerçait en Charente-Maritime, au village du Breuil-Magné près de Rochefort, constata que l’absorption d’une solution de chlorure de magnésium guérissait rapidement la diphtérie. Neveu avait été l’élève du Pr. Delbet qui, durant la guerre 1914-1918, avait observé que les blessures tamponnées avec cette solution guérissaient plus vite. Il avait appelé cette méthode « traitement cytophylactique ». Se souvenant de cette découverte de son maître, Neveu eut l’idée de l’appliquer à une fillette atteinte d’une angine suspecte, dans l’attente du résultat de l’analyse du prélèvement effectué dans sa gorge. Quelle ne fut pas sa surprise de constater le lendemain la guérison de la fillette alors que le résultat de l’analyse était positif pour le bacille de la diphtérie. Ayant obtenu le même résultat sur d’autres malades, Neveu en fit part à plusieurs de ses confrères et informa Delbet des succès obtenus. Quand, en 1943, la diphtérie atteignit des sommets avec plus de 45000 cas et que le sérum devint rare, Neveu publia quelques lignes dans le Concours médical (34) :« Le sérum antidiphtérique ne se trouvant plus en quantité suffisante, je me fais un devoir de faire connaître la médication (solution de chlorure de magnésium à 20 g par litre) qui m’a donné les meilleurs résultats, sans la sérothérapie. »

Parallèlement, Delbet voulut présenter les résultats de son élève à l’Académie de médecine dont il était membre. Après bien des difficultés, il obtint enfin, le 20 juin 1944, de pouvoir lire sa communication sur le

traitement de la diphtérie par la méthode cytophylactique mais le bureau de l’Académie refusa d’en publier le contenu dans le Bulletin de l’Académie nationale de médecine.

Cette triste histoire a été relatée en détail dans Les Nouveaux Parias (11), livre dans lequel sont rapportés les échanges de courrier entre Neveu et Delbet avec reproduction en fac-similé des lettres originales. ce livre, l’histoire m’a paru tellement invraisemblable que j’ai voulu vérifier par moi Quand j’ai lu -même. Effectivement, rien n’est mentionné pour la séance du 20 juin 1944 (12) mais dans le compte rendu de la séance de la semaine suivante (27 juin) on peut lir, au sommaire, à la rubrique « communications » : P` Delbet - Traitement de la diphtérie par la méthode cytophylactique (communication faite à la séance du 20 juin). Sans autre commentaire ni insertion de la communication. Ainsi par son coupable silence, l’Académie a-t-elle littéralement condamné à mort des milliers d’enfants qui auraient pu être sauvés par ce traitement. Pour quelle raison ? On ose à peine le croire mais la réponse figure dans une des lettres du P` Delbet :« Le conseil de l’Académie a trouvé après 6 mois de réflexion l’argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations. » Sans doute n’était-il pas souhaitable qu’au pays de Pasteur, Roux, Ramon, la découverte d’un humble médecin de campagne ruine le prestige de deux découvertes françaises : la sérothérapie et la vaccination antidiphtériques. "

1. « Vaccination contre les maladies contagieuses courantes de l’enfance » ( Rapport technique O. M. S., n° 6 ; 1950).

2. Rendu, R. :« À propos des résultats de la vaccination antidiphtérique » (Semaine des hôpitaux de Paris, n° 18, p. 788-790 ; 1949).

3. Madsen, T. & Madsen, S. :« Diphteria in Denmark »(Danish medical bulletin,t. 3(41, p. 112-121 ; 1956).

4. « Le Rôle de l’immunisation dans la lutte contre les maladies transmissibles » (Cahiers de santé publique O. M. S., n° 8, p. 64 ; 1962).

5. Rendu, R. :« Résultats comparés de la vaccination et de la non-vaccination dans la lutte contre la diphtérie » (Le Journal de médecine de Lyon, n° 819, p. 147-160 ; 20 février 1954). ’ 6. Rendu, R. :« Fréquence comparée de la diphtérie chez les vaccinés et les non-vaccinés, d’après quelques expériences vaccinales avec série témoin » (Acta Medica Scandinavica, t. 126 (6], p. 528-540 ; 1947).

7. Rendu, R. :« La Vaccination antidiphtérique est-elle efficace ? » (La Presse médicale, p. 613-615 ; 2 juillet 1949).

8. Lépine, P. : Les Vaccinations (Que sais-je ? n° 618).

9. Vincent, P. : Le Corps humain (Vuibert ; 1983).

10. Neveu, A. :« Traitement de la diphtérie par le chlorure de magnésium » (Concours médical, p. 13 ; 1-janvier 1944).

11. Delarue, F. : Les Nouveaux Parias (1971, épuisé).

12. Bulletin de l’Académie nationale de médecine (t. 128 [23 et 241, p. 29 ; 1944).


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