Personnellement, cette sur« exposition » médiatique me fait rire, à un point tel que j’ai peur de mourrir ! Imaginons, que j’achète des disque du « doc », dois-je aussi prendre ma carte UMP, etc...
Tous les fans d’un artiste ne sont pas atteint de folie de dédoublement de la personalité, et ne porte pas son bonnet. Je crois que le problème se trouve-là, croire que l’on peut manipuler les gens, par l’image, car, celle-ci est réversible, juste une histoire de point de vu, de positionnement de montage. Si, vous regardez, la chaine qui n’est pas claire tout le temps, sur des sujets, très courts, et corrosifs, ils nous montrent les grossières ficelles, (la photo de jonnhy-sarkosy !) ; tous les gens présent au congrêt voient la manipulation, et le ridicule de l’action, mais eux sont engagés sur cette route, et reste aveugles (Non, pas qu’ils soient bêtes, mais ils protègent ce qu’ils pensent être leurs intérêts !) . L’invention de la médiamétrie à transformer la donne, imaginons, que le peuple veuille une femme au pouvoir, avec du rouge à lèvre rouge, très rouge, les candidates formateraient cette image selon les souhaits de ses futurs votants, et peut-être que certains hommes oublieraient leur sexe, et les imiteraient. Que font les hommes, les femmes politiques, entrent deux élections, un programme ? Non ! Ils lisent les sondages, et tentent de nous manipuler, nous les plus de dix huit ans, car nos voix, les interessent, et comme nous ne sommes pas des images, que des chiffres statistiques, ils oublient, un instant, que nous possédons un cerveau, et donc le choix de choisir, ne serait-ce que de dire oui, où non !
Certains parlent de retard par rapport aux states, sur l’apport image des stars en campagne, moi, je pensais que jamais nous irions si loin, dans l’absolue bêtise, de penser que nous ne pouvons pas penser, autrement que comme des humains panurge !
S’afficher, dans tous les magasines, se montrer, en compagnie de chanteur à la monde, et pourquoi pas porter un sac de riz sur le dos, l’ors d’une action humanitaire, tout pour l’image, et rien pour le fond. Cela m’atriste, et curieusement, je préfére en rire !