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Commentaire de gem

sur Le principe de précaution : castrateur de liberté, ou vecteur d'innovation ?


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gem gem 6 septembre 2006 16:27

Bon idée de faire une citation complète.

C’est génial !

Ainsi, les autorités, en l’absence de données sur les risques, appliquent des ... « procedures d’évaluation des risques » (sic) ! En somme, si les scientifiques sont incapables de dire ce qu’il en est, l’administration va le faire... Fallait y penser.

Et des mesures « proportionnée » à un risque dont on ne connait pas l’extention, dont en sait seulemenbt qu’il est (peut-être !) « grave et irréversible » ! Bien, bien, bien ...

En ralité, faut pas trop compter sur le juge : il ne travaille qu’a posteriori, et n’aura jamais les moyen de contredire l’administration qui affirmera toujours avoir agit de façon proportionnée à ce qu’elle imaginait de pire au moment des faits. Aussi bien dans un sens (« je vous jure, M. le juge, si j’avais imaginé que cette centrale pouvait exploser je l’aurait fermer ») que dans l’autre ((« je vous jure, M. le juge, si jai fait arreter la presse à perlimpinpim c’est que je pensais sincèrement que la poudre était un explosif nucléaire »).


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