ce problème est tellement médiatisé que ça en devient grave.
Etant plus jeune je passais 4 à 5 heures par jour sur ma guitare. C’était « bien » mais je sortais pas assez comme on me le faisait remarquer. Un jour le phénéomène guitare passe boum je tombe dans le jeux vidéos. Là pire du pire, 8h à 10h par jour en week-end j’étais « accro » « addict » « leet » « geek » en un mot et un trait d’union : no-life.
Je tiens donc à nuancer mes propos de mon précédent commentaire. Le jeu à un certain niveau peut être considéré comme une drogue à part entière, de par les sentations qu’il procure. J’étais à un niveau assez convenable dans mon jeux et dans ma catégorie atteignans un 300eme européen sur ’sans mentir) au moins entre 250 000 et 500 000 joueurs.
A ce niveau c’est considéré comme du sport à part entière. Il à été prouvé que en unje heure de jeux vidéo de haut niveau, un joueur brulait autant de calories que en une heure de marche en montagne (l’express). De même, comme n’importe quel sport, les sponcors sont là, les compétitions rémunérées, les déplacements, la pression...
J’aimerais noter don comme beaucoup l’on fait remarquer que à un certain niveau les jeux vidéo (appelés communément e-sport) se rapproche à quasiment tous les points de vues d’un sport. J’avais quelques amis dans le basket au niveau au même âge que moi à l’e-sport haut niveau et je peux vous dire que nous étions identique, que se soit au niveau des heures de jeux, des compéts, des sponsors ect ect.
Un jouer jouant à un jeu « solo » sera pareil qu’un tennisman. Un joueur jouant à un jeu « multi-gamer » serait pareil qu’une équipe de basket, de volley ou de foot.
La communication fait que même si vous n’êtes pas en facede vos « amis » vous leur parlez, et exprimez les mêmes sentations que « en face ». Maintenant avec le recul que j’(ai je peux vous dire que d’une certaine manière, la personne qui joue aux jeux électronique à un niveau national ou international, et de même qu’un quelconque joueur de haut niveau du « vrai sport » perdra une partie de sa vie dans la plupart des cas. Pour les deux, peu de gens arrivent de 1) à garder leur niveau et de 2) rester dans le milieux pro arrivé à l’âge adulte.
MAintenant ne me demandez pas pourquoi on prèfèrent voir des gens s’essoufler derrière une balle ou derrière des haltères huit heures par jour en week-end plutôt que quelqu’un devant son pc. Chaque activité à le revers de la médaille. Quel grand sportif qui à exercé à haut niveau n’a pas de problème de colonne vertébrale, de maux de têtes, de douleurs ? Le « no-life » lui perd une certaine sociabilité, une aisance qu’il devrait avoit à l’âge ou il se construit. Pourtant nous ne sommes pas plus sociables en faisant du sport.
Je vous exprime ici une opinion personnelle nasé sur mon ancien passé de « no-life » mais aussi sur le passé d’un ami prcohe, pratiquant le sport à haut niveau.
Pour conclure, on est étonné de voir les jeunes parler pc ou jeux car c’est strictement incompréhensible. Pourtant écoutez une conversation de fan de poker, d eharry potter, de footballeur ou de stephen king, quand vous ne connaisait pas le sujet vous êtes tout autant largués.
Pour ce qui est des solutions il existe la méthode forte comme le déclare quelqu’un (coup de pied au cul et débranchage de console) qui pour ma part n’a servi à rien à part m’enfoncer un peu plus dans la conclusion qu’on ne me comprennait pas et que pourtant j’avais raison.
Il existe la manière un peu plus douce de faire prendre conscience à la personne qu’elle est « accro ». C’est plus long (des années), source de conflits mais sa marche un minimum.
Pour moi, le détachement du jeux ou des jeux c’est fait de manière brut, du jour au lendemain. Juste une prise de conscience que je perdais ma vie et que ça n’avançais à rien car l’« e-sport » n’étais pas une voie dans laquelle je voulais continuer.
Je passe un peu moins de temps sur mon pc mais d’une tout autre manière (comme vous pouvez le voir ici ) et à mon avis c’est tout aussi constructif, et j’en apprend autant qu’une quelconque activité culturelle. Pour moi le temps passé maintenant n’est donc absolument plus une perte de temps.
Ma vie sociale à repris un cours normal même si je vosu avoue qu’elle na jamais vraiment patit de ma « no-life attitude ».
Pourtant des sequelles persistent, morsque je passe une heure sur mon pc, sans but précis, alors que je pourrais très bien faire autre chose...
Bien à vous. Un long témoignage et une courte analyse. Excusez moi des fautes mais je ne me sens pas de relire.
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