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Commentaire de

sur Le principe de précaution : castrateur de liberté, ou vecteur d'innovation ?


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(---.---.162.15) 6 septembre 2006 18:36

Gem a écrit :

    Je le répète, le principe de précaution n’a encore pas servit à grand chose, sinon à buter des poulets sains sous prétexte qu’ils auraient pu être malades !

Donc si ça ne sert pas à grand chose, il n’y a pas lieu d’en faire tout un foin, ça n’est pas si bloquant que ça...

Ceci étant dit, il y a des antécédents qui amènent à réfléchir. L’amiante, le sang contaminé, la vache folle. Dans ces cas, il a fallu de longues années avant d’avoir des chiffres qui amènent à être prudents. Avant, il aurait été mieux de prendre plus de précautions.

N’oubliez que certains problèmes ne se révèlent que très tardivement. Je me souviens d’un OGM pour lequel il a fallu dix ans à des chercheurs pour se rendre compte qu’il y avait un grave danger pour les souris qui en consommaient.

Personnellement, je pense que la loi qui a été votée n’est pas suivie d’applications. Quand des scientifiques disent que l’utilisation intensive des téléphones portables pourrait avoir des conséquences pour les enfants de moins de neuf ans (cf ici), il me semble que l’état pour agir, au moins par une campagne d’information (l’Angleterre l’a fait), peut-être par une interdiction des portables dans les écoles primaires.

Am.


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