Mourey : votre commentaire est encore plus nul que votre article !
Si scandale il y a, vous semblez vous en prendre à celui qui le dénonce plutôt qu’à celui qui en est à l’origine !
La république, comme vous dites, a pris de (très) mauvaises habitudes en matière de corruption, notamment, à un degré tel qu’elle (la corruption) en est devenue une banalité ! (Voir les rapports de l’OCDE à ce sujet).
Le thème de République Bananière, appliqué à notre République, devient récurent et cela est consternant : que faire, l’autruche ?
Dans l’affaire des frégates, il s’agit d’une corruption à la puissance deux car le corrupteur français qui corrompt son client se corrompt lui même en demandant à son client un pourcentage (rétro commission) sur l’argent de la corruption ! Et d’après vous, dénoncer ces pratiques serait de la subversion en partant du principe de l’autruche :« ce qu’on ne voit pas n’existe pas » ?
Monsieur Vassé dans cette affaire, est celui non pas à l’origine du scandale, mais celui qui le dénonce : Mourey, vous êtes comme l’innocent de la fable, vous regardez seulement le doigt qui montre la Lune...
Quant à votre article : c’est de l’argumentation de niveau préadolescent ! La subversion, que semblez bien connaître, Mourey, elle est vieille comme le mensonge, elle est contemporaine de l’hypocrisie de la calomnie et de la médisance. Pas nécessaire de passer par les mercenaires, les gaulois et les romains pour la qualifier : votre concierge en connaît probablement autant sur la question...De là à emprunter ce détour pour s’en prendre à quelques associations qui militent contre les magouilles, tripatouillages et autres grenouillages (avérés ou non) de l’équipe adverse : ça pourrait être de l’humour si vous n’y gaspilliez tant d’énergie !
Ma conclusion Mourey, tant sur votre article que sur vos commentaires : « much ado about nothing » !
Bien à vous.