bonjour,
rmiste avec 4 personnage 70 sur mon compte wow, je suis souvent confronté au jugement de valeur teinté d’ignorance que l’on accole sous l’étiquette no life.
l’utilisation des champs lexicaux médicaux, psychatrique et autre comparatif a la drogue sont autant de manière de poser une problématique sous un angle infériorisant le joueur, en créant un contexte victimisant.
pourtant tout a chacun constate trés vite que passé 12 a 13h par jour a faire la meme chose, tous les jours, entraine une désociabilisation, forcément on a moins de temps a consacrer aux autre,
et entraine un phénomène d’implication mental que l’on ne fait pas ailleurs, dans ses études, du sport, son travail ou ses recherche d’emploi, ses conversations avec son entourage humain, tout comme son écoute des autres. on peut meme finir par ne pensé majoritairement qu’au jeu, ses tricks, ses combos, ses failles exploitables, etc...
mais il s’avère que lorsqu’on aime joué au jeu vidéo, activité légal, reconnu généralement ludique, on y éprouve intérieurement des sensations qui deviennent une expérience de vie a part entière, comme tout autre activité.
certe on ne fait que consommer du virtuel, on ne crée rien, n’apprend rien, ne produit rien, n’invente rien, ne muscle rien, etc.. et on y laisse une quantité non négligeable du temps de sa vie, qui consacré a autre chose aurai produit d’autre résultat que la simple satisfaction des sens sur quelque clic éphémères.
et oui ce sont ces autres résultats que les gens aimeraient tant vous voir obtenir qu’il vous reproche sans cesse quand vous jouer. mais la vérité c’est que parfois, on s’ennuie moins a jouer en ligne qu’a écouter sa copine, ses ami, ses parents, la télé, la radio, et le reste de ce que communément on appel un environnement socio culturel.
oh bien sur, 12h par jour sur wow, ce n’est pas s’extasié de plaisir ludique tout le temps, mais c’est parfois tout simplement moins hypocrite que de faire semblant de s’intéressé au reste, c’est ce qu’on qualifie de « fuite dans le virtuel » pour les uns, et de « je me fais plaisir foutez moi la paix » pour les autres.
bien entendu, le principe de ce genre de jeu repose sur une simulation, on a bien souvent plus de pouvoir décisionniel sur son perso que sur sa propre vie, et au fur et a mesure ou on se désinteresse du réel, qui lui ne vous oublie pas, au fur et a mesure on a de moins en moins de prise sur ce dernier.
mais il n’empeche que votre définition posé en postulat de départ de votre article,
« Le phénomène »nolife« implique comme l’agoraphobie un mécanisme de défense par évitement des situations stressantes générées par le monde extérieur. »
tend a laissé admettre une forme de fuite, de lacheté, de faiblesse, du joueur face au monde extérieur.
dans le monde des joueurs en ligne, vous trouvez certe des enfants/ ados/ adultes qui continuent l’évolution de l’assimilation des nouvelle technologie par le jeu, mais vous trouvez aussi quantité de personne qui assume leur métier et leur responsabilité, tout comme leur situation douloureuse,
et bien souvent ces personnes trouve dans les quelque heure ou elle jouent les soirs et le week end, un moyen de détente leur permettant au contraire de votre définition, de mieux supporté le restant de leur journée par le recul que leur offre le jeu vidéo, parfois supérieur a celui de se planté devant la télévision, seul(e), et sans interactivité.
et si en extirpant votre réflexion du prisme des jeux vidéo et du phénomène no life, vous vous rendriez compte au dela de l’évidence que ce sujet est connexe au autre problème sociaux, chomage, etc...
peut etre poseriez vous le problème des maladie du futur a la racine, qui dans bien des cas est l’enfermement dans une solitude intérieur, meme humainement entouré, et la frustation de ne pas pouvoir agir sur sa vie comme on le souhaiterai, le tout dans une société qui incite l’effort dans le travail pour la satisfaction de consommé du loisir, et qui vous abreuve constament de la nécessité de consommé du paraitre en guise d’etre.
amicalement, barbouse, no life, dans la vie réel je suis rien, gros puceau pustuleux, et j’ai peur de tout le monde,
mais dans le jeu vidéo, avec ma grosse népée magique en symbole phallique de ma virilité fantasmée, ma grosse boule de feu et mes sorts de soins, la je participe d’un monde d’aventure persistant ou je peu tuer mes ennemis virtuel sans craindre la prison, ou LA fille de la guilde me parle, et ou enfin je sert a quelque chose quand j’éclate le dragon au fond de sa grotte pour lui piquer son trésor, avant d’allé pleurer sur le contenu de mon compte bancaire tout en commandant ma pizza/ coke. :))
05/08 09:08 - Aluren
Pour ma part j’en suis convaincu depuis longtemps il y aura de plus en plus de (...)
08/09 20:23 - Baltar
A coté de la plaque ce commentaire. Ce n’est pas parceque l’informatique vous a (...)
01/09 19:53 - Halman
Moi j’en étais arrivé à un tel point que non seulement la nuit je révais de Doom, de Duke (...)
01/09 19:36 - Halman
Pourtant dans les forums de discussions générale, les intervenants, tout en ayant (...)
01/09 19:31 - Halman
« Le cyberespace est-il »naturel« ? Non, à première vue. On ne peut pas y trébucher sur une (...)
01/09 18:50 - Halman
« Je ne sais pas s’il faut aider les »nolife« à réintégrer le monde »extérieur« par des (...)
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