« Milieu dévaforisé, milieu rural : vous oubliez le milieu urbain favorisé. »
ok Luciole, j’ai lu vos interventions suivantes en milieu aisé mais il me semble que vous intellectualisez un peu trop : le pédophile quel que soit son milieu cherche un ascendant (par manque de confiance, à prendre en terme générique pour faire simple) sur plus faible que lui donc l’enfant, ascendant qu’il ne peut avoir d’égal à égal avec un adulte ; peu importe son environnement mais il est sûr qu’il récidivera plus longtemps s’il s’y joint un sentiment d’impunité de par sa position sociale et la complicité aveugle de son entourage.
Pour la complicité aveuge de son entourage : pas besoin d’être dans un milieu aisé. Ainsi que je l’exposais plus haut, cela ne fait qu’une quarantaine d’années que les enfants et adultes victimes de viol sont soutenues par leur famille (loin d’être le cas de toutes même aujourd’hui, hélas). Et le fruit de « leurs » fautes bâtardisés, éloignés, éliminés pour ne pas nuire à « l’honneur » de la famille.
Nous n’avons donc pas une longue expérience de la pédophilie en matière d’études mais il va sans dire que ce n’est pas la nouvelle intervention de NS qui va y changer grand chose tant la criminalité sexuelle est immense. L’enseignement est passé par l’instruction (des tas de matières dont beaucoup de monde n’aura jamais besoin) mais pas encore par une véritable éducation sexuelle (voir les dégâts chez les jeunes avec la pornographie hard) encore moins par les relations humaines.