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Commentaire de Zeus

sur « Deux visions, deux polémiques », sur l'islam


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Zeus Zeus 24 août 2007 16:05

Le dieu Allah de l’Islam est-il le même que la Sainte Trinité des Chrétiens ?

* Pour commencer, « celui qui prétend être le prophète d’Allah, Mahomet, devrait avoir des lettres de créances », c’est-à-dire la prophétie, les miracles et l’intégrité de l’ensemble de sa vie...

« Rien de tout cela ne se trouve chez Mahomet, cet homme de pillage et de sang qui prêche sa doctrine à coup de cimeterres, en promenant la mort sur un tiers du globe alors connu ! »

* Prophète ? « Il n’a même pas su deviner qu’on jour le poison lui serait servi par des mains soumises. »

* Et les miracles ? « Mahomet répète jusqu’à satiété que Moïse, Jésus-Christ et les autres prophètes ont fait des miracles, témoignage précieux pour notre foi, mais que lui n’est pas chargé d’en faire : il n’est chargé que de la prédication ; voilà la confession de son impuissance et par conséquent de son imposture et de son erreur. » Par ailleurs, dit Monseigneur, « j’ai lu le récit de ses 18 miracles, d’après les auteurs arabes. Ce sont des phénomènes sans raison d’être, des contes puérils ou tout au plus des tours de sorcellerie qui feraient rire de pitié nos fameux prestidigitateurs... Tantôt ce sont des arbres qui se promènent, des pierres qui parlent et autres niaiseries que nous avons honte de rapporter ici. Voilà tout son bagage de thaumaturge ! » Et manque d’arguments et de miracles, Mahomet fait croire que « le miracle des miracles, c’est le Coran, prodige qui dépasserait en beauté toutes les formes humaines... »

* « 4 ou 5 chapitres du Coran sont assez agréablement tournés, j’en conviens ; mais... qu’est-ce que peuvent faire 5 chapitres pour racheter les prodigieuses niaiseries, les maximes jetées sans ordre, les hiéroglyphes bizarres, les non-sens habituels et les flagrantes contradictions qui remplissent les 114 chapitres de ce tome indigeste ? »

* « Dans le Coran je n’ai rien trouvé de bien neuf. Presque tout, excepté les infamies, y est emprunté et contrefait. Ce qui est vrai se trouve dans le Pentateuque et dans l’Évangile ; ce qui est faux, dans le Talmud, dans les légendes arabes ou sabéennes, dans les évangiles apocryphes... Or, on voudrait faire descendre fraîchement du Ciel ce qui est déjà vieux sur la terre, et ce que je rencontre au fond de la boue ! »

*« Le sabre n’est point un argument pour l’intelligence humaine ».

* « Parce que Jésus s’était choisi 12 apôtres parmi les fidèles, Mahomet en choisit 12 parmi ses sectateurs, ce qui l’a fait appeler par un écrivain du Moyen Age le ’copieur de Dieu’. »... « À la place de la simplicité, de la douceur, de la bénignité, de l’esprit de paix et de pardon, de la pauvreté volontaire, de l’humilité, de l’amour des souffrances de Jésus, vous voyez éclater dans Mahomet la duplicité, la cruauté, la soif des jouissances, du butin, de la domination, de la vengeance et de l’orgueil, à leur paroxysme le plus élevé. »

* « Pourquoi suis-je obligé, poursuit Monseigneur Pavy, de taire ses 21 épouses qu’il se donne après s’être engagé à n’en avoir que 4, sans compter ses 4 concubines, et cette infâme loi qui lui accorde toute femme musulmane dont le coeur se sentira incliné vers lui », fût-ce une fillette de 8 ans ?... « Donc, il n’est pas l’envoyé de Dieu ».

* « Le Coran exprime, en de pompeuses paroles, les grandes idées des vertus naturelles, et lâche en même temps ouvertement la bride aux penchants les plus violents et les plus sulfureux... Il supprime les remords en introduisant le fatalisme... Mahomet, vaincu par la chair, accepte comme une loi divine sa domination absolue », par ses instincts les plus indignes.

* « Mahomet emprunte à chacune des religions existant à son époque une portion de ses doctrines, et de cet amalgame incohérent qui prétend ménager le Chrétien, le juif, le sabéen, l’idolâtre, il forme son symbole et lui donne pour suprême couronnement son aphorisme : ’Il n’y a de Dieu que Dieu, et Mahomet est son prophète’... Il se fonde sur l’amalgame des doctrines, et se couronne par l’orgueil de la personne »... « Mais la vérité n’est pas une propriété dont on puisse abandonner même une parcelle, dans l’intérêt prétendu de la paix ».

* « Le Coran nie la divinité de Jésus-Christ ».

* « Est-ce le Dieu véritable que le dieu de Mahomet ? Non ! Le faux prophète a donc fait un dieu nouveau ? Pas davantage. Il a fait de son dieu ce qu’il a fait de tout le reste, un bizarre assemblage des qualités les plus opposées ; il l’a arrangé à sa façon. »

* « Son dieu unique, mes frères, est si faible qu’il n’ose jurer par lui-même !... Son dieu unique est le plus cruel des tyrans, puisqu’il fait lui-même tout dans l’homme, jusqu’au péché, puisqu’il ordonne à tous de croire à la nouvelle révélation du Coran, et déclare en même temps qu’il ne veut pas que les infidèles puissent y croire. Son dieu unique est un dieu sans cœur ; il n’aime pas, et il ne demande pas qu’on l’aime ! »

* Le dieu de Mahomet « change l’éternelle beauté du ciel en un lieu de prostitution, dont les orgies dépassent en lubricité multiple et stérile tout ce que l’idolâtrie elle-même, dans ses conceptions les plus abjectes, avait pu rêver. Le dieu de l’islam, c’est un être tellement immonde, en sa complaisante faiblesse, que si l’autorité chargée de la garde des moeurs rencontrait dans nos rues quelque chose de semblable, elle devrait à l’instant l’arrêter et le dérober aux yeux d’un public, hélas, pourtant si facile ! Et se serait là le vrai Dieu ? »

* « Oh, non, non, ce n’est pas là le vrai Dieu du ciel et de la terre, le Dieu des nations, le Dieu des prophètes, le Dieu de Moïse, le Dieu de Jésus-Christ. Ce n’est pas Vous, ô Sainte Trinité, que cet homme a violemment combattue. Ce n’est pas Vous, ô Père saint, ô Verbe éternel, ô Esprit de lumière et de charité ! Ce n’est pas Vous, Jésus, le salut et la vie de mon âme... Cet homme, Mahomet, ne vous a pas connu, il n’a pas su vous aimer, lui. Pardon, Seigneur, si, pour la défense de votre nom, j’ai parlé d’un autre dieu que vous ! »

* « L’islam est une prétendue religion que certains Français entourent encore de tant de respect.... Quelle morale est-ce donc, mes frères, que celle dont votre évêque n’ose pas exposer les principes, même pour les flétrir ? »

* La morale de l’islam ? « L’association du sang à la volupté, la guerre à l’infidèle, guerre permanente, guerre qui doit durer jusqu’à leur entière extermination ou soumission au tribut. »

* « En lisant l’Evangile, j’ai appris à prier ; en lisant le Coran, je n’ai rien appris, et le musulman, j’en suis sûr, n’y apprend, lui, qu’à répéter de creuses et de vides formules. Je serais tenté de dire qu’une telle prière est un outrage, puisqu’elle s’adresse à un dieu qui n’existe pas, ou qui existe avec des attributs tout opposés à ceux que lui prête la doctrine du musulman. »

* Et la science ? « Elle a paru, chez eux, comme un météore ; elle est restée, chez nous, comme un soleil dont les feux alimentent sans cesse l’activité de l’intelligence humaine... Quel progrès ont-ils fait dans l’agriculture ? Aucun ; et, tandis que nos moines défrichaient l’Europe, les musulmans ont abandonné à la stérilité ces belles provinces de la Syrie et de l’Afrique, si fertiles et si peuplées à l’époque où l’islamisme s’abattit sur elles. »

* « Et la famille ? L’époux y est un capricieux despote, la femme une esclave ; point d’instruction, même élémentaire, pour elle ; point de mosquées où elle puisse prier avant l’âge de la vieillesse. »

* Les conseils de Mgr , pour convertir les musulmans qui nous entourent ? « Y porter non la guerre, mais la paix ; non la licence du toit domestique, mais la pureté et l’inviolabilité du mariage chrétien ; non la vengeance, mais le pardon ; non ce fatalisme désespérant, qui compromet autant la puissance de Dieu et sa miséricorde que la liberté humaine, mais cette douce résignation qui lui fait compter les larmes comme autant de perles précieuses et les épines de la douleur comme autant de fleurons ajoutés à la Couronne du Christ. Amen. »

Extraits du sermon prononcé par Monseigneur Louis Pavy, évêque d’Alger, en la cathédrale d’Alger pendant le Carême de 1853


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