Il me semblerait utile que certains APJ et OPJ soient un plus modeste sur leurs activités. En effet, il me semblerait utile de rappeler que l’on ouvre une enquête préliminaire non pas « sur du quand dira t’on » mais sur des éléments graves, précis et concordants. Avant 1984, qui faisait ce sale boulot ? les APJ non, les OPJ non, les APJA OUI... Et oui, c’était aussi le travail des GPX... Mais comme ces derniers n’ont plus voulus jouer le rôle de témoins « délateurs » et bien on leur à donner la qualité d’APJ voir d’OPJ actuellement pour certains... Mais, au fait, à qui revient de faire ce « sale boulot » ??? et bien aux PM, aux agents énumérés à l’article 28 du CPP et/ou aux simples citoyens ...
C’est grace à ses derniers que ne nombreuses affaires sont résolues : affaires financières (agents des impots, urssaf, etc), affaires économiques (DOUANES, DGCCRF, DSV, etc...), trafic de médicaments (pharmaciens inspecteurs de santé publique, etc...).Dans les affaires cité, les APJ et OPJ arrivent en bout de chaine juste pour faire fonctionner le gyro, le deux ton, sortir la carte tricolore, arborer (parfois a l’envers) le beau brassard orange, placer en garde à vue et finaliser la procédure : après on apprend dans la presse « la sureté départementale à démanteler un trafic » ouh la la... qu’ils sont balaises...