Z’êtes complètement aveugle aux problèmes de fond et faites trop confiance à ce qu’on nomme communément des investisseurs.
En cherchant des réponses à un problème très complexe, vous faites un vieux raccourci sur l’organisation des structures de santé.
Vous dites que la Sécu est un organisme privé, c’est archi faux, la gestion de la sécu est externalisée oui, mais en aucun cas le conseil d’administration pour parler privé n’est constitué de décideurs privés.
Pour ne faire pas trop long, filer un domaine d’activité à un type blindé de pognon (grâce le plus souvent à une activité qui n’a rien à voir avec un des 3 domaines susnommés et dans des circonstances bien souvent plus que douteuses dixit, NS et sa dépennalisation des actes d’entreprise, un avoeu s’il en est) le tout chapeauté par un pseudo conseil de surveillance dont le budget est à peu près le même que celui du CNIL (c-à-d minable) et vous avez un beau cocktail de connards prets à se faire du pognon sur le dos des malades.
La santé est une priorité d’état. Il ne s’agit pas de parler d’« assistés » comme certains se plaisent à le faire, mais d’un devoir national. Pourquoi ne pas aller plus loin ? : la libéralisation des armées !!! (ben oui pourquoi pas ? la russie est déjà en train d’y réfléchir dans le même temps que les US ont une certaine expérience de l’externalisation de ce type de ’service’).
Bref, encore une fois, le privé doit être cadré dans des activités éloignés de ce qui est humainement vitale. Elles font déjà suffisamment mumuze avec les autres secteurs, on va pas non plus leur refiler le primordiale...
Si vous n’avez pas cela en tête, inutile de nous refiler toutes les recettes appliquées en d’autres lieues et selon différentes circonstances pour persuader votre monde du bien fondé de la liberté d’entreprise.