« Pardonnez moi d’avance le terme, mais je vous trouve très « pénible ». »
Une attaque personnelle n’est pas un argument. Moi, j’ai également une opinion sur vous, mais ma bonne éducation ne me permet pas de l’exposer en public, car les gens polis discutent une idée, un sujet, et non la personnalité des participants.
« Quant à vous, vous êtes en permanence à vous référer au site officiel, à son forum de discussion, à Wikipédia »
Ecoutez, estimata, vous mettez l’adresse du site kotavien dans votre signature, vous y faites une pub, et ensuite vous vous étonnez que certains (moi en l’occurence) vont voir cela de plus près ?.. Eh oui, j’ai visité tout ça, et même trouvé des choses intéressantes sur Wiki
« Si vous voulez vous épandre sur le Kotava, rédigez une contribution spécifique et exposez vos sentiments. »
Moi ? Non. C’est vous qui avez commencé avec le kotava, alors ne vous étonnez pas que le sujet se poursuive et qu’il ne suffit pas de donner un coup de sifflet pour y mettre fin.
« Quant au mot secte, je ne l’ai pas davantage prononcé »
Oh oui, mais les autres mots - « gourou », « prosélytes », « convertis »... L’allusion est plus que transparente.
« Et vos « postures » desservent votre cause plus qu’aucun argument objectif. »
Je sers ou dessers ma « cause » comme je l’entends. Et comme je l’ai déjà dit, je ne prends pas de postures, je me limite aux constatations et aux faits. D’ailleurs, merci de cette gentille pensée sur mes pantoufles, vous avez un petit bonjour de leur part
« L’Afrique a plus que sa part de souffrances et de tragédies quotidiennes. »
Je le crois volontiers, je n’ai jamais nié les problèmes de l’Afrique, mais rassurez-moi - ils ne viennent tout de même pas du kotava ?.. Sinon quel rapport ? Si j’ai mentionné mon vécu, c’est uniquement pour illustrer la réalité des persécutions contre les espérantistes et non pour des « postures » quelconques.
« Le jour où il faudra payer pour assister à Davos à une conférence sur l’espéranto, pour entendre Johnny Halliday chanter en espéranto au Stade de France, ou pour racheter à coups de millions un site de rencontres sur internet en espéranto, là on rentrera dans la Réalité. »
Oh, mais il y a des choses payantes avec l’espéranto... Livres, CD, DVD etc. etc., le commerce n’est pas absent. Mais en parallèle il existe une possibilité de ne pas payer pour approcher la langue. C’est comme les logiciels libres