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Commentaire de Ronny

sur Le Bilderberg, lobby le plus puissant du monde ?


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Ronny Ronny 10 septembre 2007 11:26

@ auteur

Très bon papier.

Votre référence :

Les lobies à l’assaut de l’EUrope est excellente (Bernard Lecherbonnier - Albin Michel, Paris, 2007, 183 pages). En voici un résumé sur le net : Une douche froide pour ceux qui se faisaient encore des illusions sur la transparence et le caractère démocratique de l’élaboration des décisions européennes... Multiples anecdotes et exemples précis à l’appui, l’auteur décrit l’activité des milliers de lobbyistes, dont le métier est d’orienter les actes législatifs communautaires dans l’intérêt de leurs commanditaires. Au-dessus du tout-venant des groupes de pression, il y a les « parrains » invisibles et discrets, mais tout-puissants auprès de la Commission : la Table ronde des industriels européens (ERT), « variante régionale du soviet suprême du capitalisme mondial » qu’est le groupe de Bilderberg, sans oublier la Commission trilatérale.

Autres refs. intéressantes sur la trilatérale et autres « club de groupies du billet vert » :

http://www.monde-diplomatique.fr/2003/11/BOIRAL/10677 http://www.monde-diplomatique.fr/1998/02/WALLACH/10055.html

Voir aussi :

Rencontres au sommet. Quand les hommes de pouvoir se réunissent ?. De Michael Gama, L’Altiplano, Paris, 2007, 192 pages, 14 euros.

Resumé du Diplo : "L’ouvrage porte sur les rencontres secrètes de la Commission trilatérale et du groupe Bilderberg, deux clubs fermés qui réunissent barons de la finance, chefs d’entreprises, experts médiatiques, responsables politiques et journalistes. Régies par des règles bien précises, ces rencontres permettent d’entretenir le dialogue entre les « hommes de pouvoirs » des pays riches. L’auteur, qui rejette d’emblée les « conceptions délirantes » du type « théorie du complot », illustre son enquête par de longs entretiens avec des participants. Insistant sur l’aspect élitiste de ces rencontres, il explique que ces conclavistes de haut vol « considèrent le peuple comme incapable de se gouverner, de prendre les bonnes décisions ». A travers les conversations de couloir, souvent les plus décisives, s’entretiennent des complicités que Michael Gama détaille avec une certaine délectation (elles auraient favorisé la création du G7, celle d’EADS et ne négligent pas le copinage littéraire). Richement documenté, l’ouvrage fournit en annexe la liste des membres et des participants des deux clubs. Mathias Reymond."


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