Aller hop, l’hommage des Garçons bouchers à la grande roteuse :
La bière. La bière.
Qu’est-ce qu’elle à fait de moi la bière ?
Qu’est-ce qu’elle à fait de moi ?
La bière. La bière.
C’est comme si c’était mon frère.
Nous buvons jusqu’à la dernière,
On se remplit comme des porcs de bière
KRO-NEN-BOURG
Et toujours on r’tourne au fond des chiottes
On se dégueule en choeur sur les bottes.
La bière. La bière.
Qu’est-ce qu’elle à fait de moi la bière ?
La bière. La bière.
C’est comme si c’était mon frère.
A la pression, en boite, en cannette.
On boit, on fait des rots et on pète.
KRO-NEN-BOURG
Ca fait mal à la nuque le lendemain
Mais on va remettre ça sans fin.
La bière, la bière,
Qu’est-ce qu’elle à fait de moi la bière.
La bière, la bière.
C’est comme si c’était mon frère.
La bière, moi, ça me rend amoureux.
Amoureux ?
La nuit, ça me réveille la queue
KRO-NEN-BOURG
Mais si jamais j’ai trop abusé,
Y’a rien à faire, elle veut pas bander
La bière, la bière,
Qu’est-ce qu’elle à fait de moi la bière.
La bière, la bière.
C’est comme si c’était mon frère.
Et en buvant mon avant dernière
Avant qu’on ne me rentre dans ma dernière
KRO-NEN-BOURG
Je veux recevoir l’extrême onction.
A grand coup de malt et de houblon.
La bière, la bière,
Qu’est-ce qu’elle à fait de moi la bière.
La bière, la bière.
C’est comme si c’était mon frère."
Amen !