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Commentaire de Catherine Coste

sur Enquête sur la mort encéphalique et le prélèvement d'organes en France


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Catherine Coste Catherine Coste 19 septembre 2007 14:15

Merci pour ces encouragements ! Les raisons pour lesquelles j’ai effectué ces recherches sont fort éloignées de mon cursus universitaire. Dans mon environnement familial et professionnel, j’ai été (et suis toujours) en contact avec des médecins et chirurgiens confrontés aux prélèvements d’organes sur donneurs « décédés ». Face à l’indigence du discours public en France en ce qui concerne le constat du décès sur le plan de l’éthique dans le cadre des prélèvements d’organes sur donneurs « décédés » (donneurs d’organes en état de mort encéphalique, cérébrale, ou encore donneurs « décédés présentant un arrêt cardiaque et respiratoire persistant », ce dernier état permettant le prélèvement des organes « à coeur arrêté »), j’ai été amenée (depuis mars 2005) à jouer un rôle de médiation éthique entre les usagers de la santé, le corps médical et les politiques (le Sénat notamment). Initialement, j’ai suivi un cursus en sciences humaines (langues et civilisations étrangères : allemand) et suis titulaire d’un DEA (Bac + 5) en littérature allemande. Mais tout arrive, puisque j’ai appris hier que ma candidature en Master « Ethique, science, santé et société » pour l’année universitaire 2007-2008 a été acceptée... Encore une fois, merci pour votre intérêt. Cordiales salutations, Catherine Coste


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