D’entrée de jeu, j’avais averti que cette enquête avait pour objet l’interrogation sur la justification du durcissement des sanctions contre le refus vaccinal - et non une analyse scientifique « pour ou contre la vaccination ». Il est donc normal que « si cet article avait été soumis à une revue scientifique, il n’aurait pas été accepté » ! Ce n’était pas son but.
De même, j’avais averti que, pour les aspects positifs des vaccins, je laissais le soin aux internautes de consulter leurs médias habituels et la communication des autorités qui, eux, font totalement l’impasse totale sur les effets négatifs des vaccins. En ce moment, voyez ce qui se passe sur la grippe qui s’annonce : avez-vous entendu une seule information disant que le vaccin pouvait avoir des effets secondaires ? Je trouve même que j’ai voulu être trop « équilibré » et « gentil ». S’il avait fallu que je contrebalance la communication des « pro-vaccins » déversée rien que sur une année, il m’aurait fallu une enquête contenant des dizaines de milliers de pages !
Enfin, vous mettez en avant, comme beaucoup de ceux qui tentent de culpabiliser les critiques, que la vaccination est un acte altruiste et qu’il faut regarder la balance « bénéfices/risques ». Peut-être avez-vous lu l’enquête trop rapidement : vous ne réagissez pas au fait que cette balance n’est plus calculée en France depuis 50 ans pour les vaccins obligatoires ! Et que donc le bénéfice collectif n’est pas mesuré depuis la fin de la deuxième guerre par les autorités.
Vous n’expliquez pas non plus pourquoi les médecins se vaccinent moins que les infirmières.
Bref, vous ne répondez pas aux arguments et vous contentez d’une critique générale.