Merci Kard pour cette mise au point qui parle d’elle-même.
Un grand bravo au journaliste enquêteur pour sa recherche documentaire. N’en déplaise aux obscurantistes, ce mémoire à le mérite d’ouvrir le dialogue, ce qui est le propre des esprits ouverts,tolérants et non partisans.
Rappel d’évidence :
Nous combattons avec raison pour que l’air que nous respirons soit débarrassé de ses pollutions chimiques dues aux voitures et camions, aux fumées d’usines et des systèmes de chauffage et autres pollutions.
Nous menons le même combat pour que l’eau avec laquelle nous nous lavons et que nous buvons soit exempte de nitrates, de pesticides, de tous les résidus de l’agriculture chimique et de l’élevage intensif, des rejets industriels et urbains.
Quand à l’alimentation, nous consommateurs, sommes de plus en plus sensibles aux informations qui attirent avec raison notre attention sur les dangers :
- des cultures intensives soumises à l’épandage important d’engrais chimiques et de pesticides,
- des OGM,
- et des élevages industriels avec les produits phytosanitaires, les médicaments la généralisation des prescriptions d’antibiotiques et de vaccins.
Nous savons que les contaminations virales de grippe aviaire se produisent toujours dans ces élevages industriels, signe que ces animaux sont particulièrement fragilisés par leur mode d’élevage. Nous refusons ce genre de nourriture et nous menons ce combat avec acharnement tant il nous tient à cœur.
Pourtant l’air, l’eau, les aliments passent par nos systèmes respiratoires et digestifs qui sont des filtres alors que nous ne sommes pas gênés d’injecter une partie de ces produits directement dans le sang de nos enfants dès l’âge de deux mois et cela des dizaines de foi entre deux mois et dix ans.
En outre, nous injectons les antigènes de plusieurs maladies, parfois sept, dans un même vaccin alors que le corps n’est jamais confronté à plusieurs maladies en même temps et que nos défenses immunitaires ne savent alors « plus donner de la tête ».
Or, les vaccins commercialisés en France contiennent les excipients qui suivent :
adjuvant MF59C.1, albumine humaine, algeldrate, aluminium (hydroxyde), aluminium (phosphate), aluminium (sulfate amorphe d’hydroxyphosphate), aluminium (sulfate d’hydroxyphosphate amorphe), anatoxine/ protéine tétanique (comme adjuvant), bêta-propiolactone, bromure de cétrimonium, caoutchouc naturel (latex), citrate de fer ammoniacal, désoxycholate de sodium, dextran, éther éthylique, formaldéhyde, gélatine, gentamicine, glutamate / acide glutamique, glycérol / glycérine, kanamycine, lactose, milieu 199 Hanks, néomycine, nonoxinol 9, oeuf, octoxinol 9, phénylalanine, phénol, phénoxyéthanol, polygéline, polymyxine B, polysorbate 20, polysorbate 80, protamine (sulfate), protéines de poulet, protéine CRM-197 de Corynebacterium dyphteriae, Saccharomyces cerevisiae, sorbitol, squalène,streptomycine, thiomersal, Titriplex III (acide édétique sel disodique), trométamol, urée
Sources :
- Vidal
http://www.vidal.fr/recherchemedicament.asp
- European Medicines Agency (Agence européenne pour l’évaluation des médicaments)
http://emea.europa.eu/
- BIAM
http://www.biam2.org/www/Isub.html
- therapeutique-dermatologique.org
http://www.therapeutique-dermatologique.org/article_main.php?article_id=400
Toute personne douée de raison est donc naturellement en droit d’assumer les risques potentiels d’adjuvants non anodins.