« de réseaux ferrés ou de distribution électrique que seul l’État avait la capacité financière et la légitimité d’installer, parfois encore des raisons juridico-historiques, comme l’implication de l’État dans la construction automobile pour cause de nationalisation punitive des usines Renault, ou encore parfois pour des raisons moins nobles, comme le souci de contrôler l’information, pour les réseaux radio-télévisuels. »
L’ETAT manque à ses devoirs et ce sont des raisons moins nobles qui le motive.
Le rôle à mon sens de l’etat c’est d’ARBITRER rien de moins, rien de plus, tâche singulièrement difficile lorqu’il s’agit de milliers de parties jouées en même temps, dans de milliers d’endroits et avec des règles de jeux différentes.
C’est à lui qu’incombe d’edicter les règles citoyennes, dans ce sens il est juge et arbitre : qu’il se scinde en deux.
Il propose et est en même temps promulgateurs des lois : pareil, qu’il crée les instances necessaires :
- à titre d’exemple la DGCCRF, direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes. Celle-ci famélique sans grands moyens, en hommes (y compris de qualité), sans outils à la hauteur de sa tâche ne peut que siflotter, époumonée qu’elle est... (certains agents de cet organisme sont tellement marqués du sceau du fisc, qu’ils ne sont ni crédibles, ni efficients, c’est pour les citoyens honnêtes, les entreprises correctes, les associations étiques qu’ils travaillent, ça ils l’oublient, à moins qu’ils n’aient des ordres ou instructions dévoyées.