Personnellement je vois plusieurs choses.
Le couple « Carotte ET baton au même titre que celui »Prévention ET Représsion" sont indispensable Et indissociable.
Constat :
- 95% du revenu des médecins sont payés par nos impots et nos cotisations.
- La répartition des médecins ne reflète pas les besoins
- Admettons qu’il y a « assez » (et non pas trop) de toubib en ville
Solution :
Le baton :
Etant payés à 95% par nos impôts, il me parrait normal que l’Etat fasse en sorte d’harmoniser leur répartition.
En fonction des spécialités, à la sortie de leur scolarité on leur « propose » une « localisation administrative » en fonction de leur classement. Libre à eux de refuser...mais dans ce cas là, ils ne seront pas conventionnés.
Tous les ans/6 mois, une liste des localisations administratives vacantes parait : priorité dans l’ordre aux medecins conventionnés, puis rapprochement familiale, puis à l’ancienneté, puis ceux qui ont choisi de ne pas être conventionné
Augmentation du Numérus clausus dans chaque spécialité en fonction des besoins et des localisations administratives vacantes.
Carottes :
Incitation financière :
- Maison médicale fournie (sans loyeer à payer) par les communautés de communes en zone rurale rassemblant éventuellement plusieurs medecins.
- Gardes mieux rémunéreés en zone rurale
autres(il doit bien y avoir d’autres carottes à offrir :)