@Cites
> et là pour le moment je ne vois pas de propositions à part « donnez plus de pognon et on reflechira peut être »...
Le message actuel des internes n’est pas « donnez-nous du pognon », il est « pas de remise en question de la liberté d’installation, juste des incitations ».
> on a vu l’efficacité tonitruante que ça a eu sur la prescription de générique... et là on ne peut pas dire que c’était méchant comme contrepartie...
Il faudrait analyser le rôle majeur des pharmaciens dans la [non]substitution. Je vois aussi souvent dans les pharmacies des clients qui refusent catégoriquement le générique.
> On pourrait toujours rester dans l’incitatif en divisant par deux le coût des consultations en ville et en doublant celle en zone rurale ? ? ?
Sans doute pas dans cette proportion mais c’est une excellente piste. Déjà ×1 ou Û2 ferait une différence de ç5% à +108-10%à la fin du mois.
> Plus sérieusement, on pourrait arrêter pendant par exemple 10 ans les augmentations du coût de la consultation dans les zones ou les medecins sont en nombre suffisant et l’augmenter chaque année dans les zones sinistrées. (Savant dosage de carottes et de batons).
C’est un peu pareil, en plus indolore.
> Et puis pour les medecins qui ont voté Sarko (j’espère pour l’auteur que ce n’est pas son cas...), qu’ils ne viennent pas se plaindre, à leur place je ferai plutôt profil bas car ils l’ont quand même bien cherché :). Désolé pour cette fin un peu troll mais j’ai pas pu me retenir.
J’avoue que je m’en amuse bien aussi. Mais sur la liberté d’installation, il y a authentique tromperie de Sarkozy parce qu’il avait promis de la respecter.