Cher Pierre,
Une fois de plus toutes mes félicitations, il n’y a rien à redire à propos de votre article !
Et pour ceux qui verraient en moi un anti-américain, qu’ils se détrompent, je suis pro-américain mais viscéralement anti-Bush et sa clique !
Bush représente l’archétype de l’Américain puritain du sud, une main sur la bible et l’autre sur le Colt ! Peu importe les moyens mis en oeuvre, uniquement la fin compte.
Toutes les techniques d’interrogatoires auxquelles vous faites référence sont validées de façon sous-jacente par le très liberticide « Patriot Act ». Les interrogatoires menés - hors de toute juridiction pénale - à bord de vols secrets de la C.I.A. en est une des exemples des plus parlants.
Le plus désolant c’est le consensus mou des grands de ce monde qui, mais ont-ils le choix, ont tacitement ou implicitement fait allégeance à l’administration de Mister « W » (et à toutes ses dérives).
A ce propos, et loin de moi l’intention de faire de valoir à tout prix faire de l’autopromotion,... Récemment j’ai publié sur mon site un article (en souffrance de publication sur Agoravox) :
http://www.11septembre2001.org/Bush%20Poutine%20Sarkozy.htm
dans lequel j’évoque la très insidieuse opération de séduction opérée cet été par le clan Bush. Des leaders tels que Vladimir Poutine et Nicolas Sarkozy faisaient parties des invités du « clan » et leurs très médiatisée visites à Kennebunkport a servi au plus haut point à rehausser le coté faussement respectable de George Bush.
Bravo, une fois de plus, j’aime décidemment votre plume !
P.S. Le procès fait à Bill Clinton est, à mon avis, injuste ! Clinton était, tout comme le sera le successeur de W. Bush, under-control ! La petite « gâterie » de M Lewinski, montée en épingle - et dont l’enquête a coûté DIX FOIS PLUS que le budget alloué à la Commission d’Enquête sur le 9/11 - était, elle aussi, une opération de sape destinée à discréditer et dès lors asservir (de manière occulte) un président qui n’allait pas dans la « bonne direction ».
Il est notoire que depuis quelques années le locataire de la Maison Blanche n’est que la représentation physique sensée valider ou promouvoir des décisions prises dans l’ombre par un « cartel » influent composé d’hommes d’affaires et de lobbies politico-millitaro-industriels.