@ l’auteur.
« Bonjour oui cette variable du chomage est prise en compte et elle ne change pas le déséquilibre démographique des générations futures le chomage est un fléau social entretenu il ne doit pas nous aveugler et nous rendre plus sot que de raison. »
Et donc, pour vous, il n’est d’autres solutions à cela qu’une substitution de la population ???
La raison comme vous dites, voudrait qu’on pense d’abord à faire remonter la natalité, quitte à faire appel à l’immigration après ; et pas l’inverse. On vous parle de citoyenneté et de nationalité, vous répondez en terme de main d’oeuvre !!
Etre DRH c’est bien, être un citoyen français c’est mieux.
Cette erreur d’interprétation est d’ailleurs sensible dans votre titre. Ce qui nous ronge, ce n’est pas l’immigré, en tant que personne, mais bien l’immigration. Les palabres sur la France terre d’immigration tout le monde les connait, pour la bonne et simple raison que la France, comme les 3/4 des pays d’Europe a toujours eu des immigrés, car il est bien dans l’ordre des choses que les populations se déplacent.
Non, ce qui nous ronge, et ce qui est nouveau et pas dans l’ordre des choses, c’est les gens qui sont intiment convaincus qu’importer plusieurs millions d’individus aux mœurs et aux coutumes singulièrement différentes des nôtres ne va poser aucun problème parce que, de toute façon, il faut de la main d’oeuvre et que je cite « nous sommes la patrie de droits de l’Homme universel », et qui ensuite se permettent de venir traiter « raciste-xénophobe-vilain-méchant » tout ceux qui se plaignent de difficultés rencontrées par cette cohabitation.
D’autant que, comme vous le souligner si bien dans votre texte, dans la question de l’immigration, il n’est pas question d’unité de peuple, de compatibilités de moeurs, mais bien de taux production. Dès lors, ne venez pas vous offusquer de l’exaspération que montre certain ici envers les immigrés, tout comme d’ailleurs certains immigrés envers ceux qui s’exaspèrent.
J’ai la bonne foi de ne pas nier les gains de production que les vagues d’immigration passées ont permis à la France, ayez donc celle de ne pas nier que vivre à coté d’un foyer Sonacotra, c’est pas évident tout les jours ; surtout quand on ne fait pas parti des patrons qui profitent des habitants de ces foyers pour casser le cout du travail en période de chômage, mais bien des citoyens français qui souffre de la baisse de ce cout.