Au sieur Candide :
Je remets le même commentaire pour la 3ème fois, puisque vous ne daignez pas répondre. En seriez-vous incapable ?
Comme vous ne connaissez strictement rien à la question, ce qui ne vous empêche pas de débiner en une page le travail de milliers de gens qui y consacrent leur vie, j’aurais tendance à penser que l’honnêteté intellectuelle est aussi une notion que vous n’avez pas acquise. La modestie non plus.
Derechef, donc :
"Vous trouverez sur le site www.manicore.com toutes les réfutations d’Allègre, Lomborg et consorts, avec de l’humour en prime.
J’ai jeté un cil au bouquin d’Allègre. Il ne doute pas de l’effet de serre naturel, et lui reconnaît un réchauffement de 33°C (15°C de moyenne - terme qui, dans ce passage, semble avoir un sens pour lui - au lieu de -18°C pour une atmosphère sans rien d’autre que N2, O2 et les gaz rares). Or, on attribue les 3/4 de cet effet à l’eau (vapeur et nuages) et 1/4, soit 8° environ, aux autres GES naturels (CO2, méthane, ozone, N2O).
Expliquez-nous maintenant par quel miracle on pourrait se permettre de doubler la quantité de ces GES non aqueux, qui nous réchauffaient déjà de 8° avant la naissance de James Watt, sans que ça ait aucun effet sur le climat ? Notre cher exterminateur de mammouths n’en dit rien."
Vous avez trop écouté les Pangloss proclamer que « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles ». Lisez donc Voltaire pour apprendre la suite de l’histoire et l’éveil de Candide aux dures réalités des catastrophes naturelles et autres.