Fourmilière ? Pour celui qui navigue dans les quartiers « chauds », Shinjuku, Shibuya, Akihabara.... mais en s’éloignant de quelques centaines de metres on rentre dans le Tokyo résidentiel.
j’ai vécu à 15 mn à pieds de Shinjuku, une « menshion » de 3 étages, dans une rue où devait passer 3 ou 4 voitures par heure. Autour de moi, il n’y avait que des immeubles à 3-4 étages dans cette rue « principale ». En passant dans les sous artères quasi pietonne, c’était alors des maisons de 2 étages avec un petit jardin.
Vraiment petit le jardin, mais c’était quand meme un jardin... (chose rare à Paris à 15 mn du centre ville !!)
Quant aux otaku, pareil, on les rencontre par ci, par là, ça dépend des endroits et des milieux sociaux-professionnels, mais dans mon entourage je n’en connaissais guère et ceux-ci étaient plutôt traité avec mépris.
juste pour dire qu’il ne faut pas prendre la minorité pour l’ensemble.
Le Japon est un grand pays, divers, variés et il est difficile de l’appréhender en quelqeus phrases (comme la France au demeurant, bien évidemment).
Et le monde du travail y est différent. Plus ou moins dur ? ca dépend des endroits, des patrons, des milieux.... et cela dépend aussi de chacun. De ce qu’on recherche dans la vie professionnel et de sa propre capacité à s’adapter.
Parfois certains revenant en France regrette le milieu professionnel japonais, plus cool, plus libre, plus respecteux... Meme ils ne veulent plus revenir en France.
d’autres ne peuvent s’adapter vivre au Japon.
Il en est de même des Japonais venant en France. Pour certains, le milieu y est trop dur, trop agressif, trop compétitif : les mêmes tares que vous décriviez pour le Japon.
Encore une fois, je crois que tout est relatif... et si on n’est pas pret à accepter une culture autre, de toute façon l’expérience est forcément négative : on ne voit dans l’autre que ce qu’on est prêt à y voir.