Un exemple où la recherche officielle donne raison au dissident... A savoir l’efficactité de l’étude de la charge virale comme marqueur de l’évolution de la maladie.
Une étude de 2006 indique que ce marqueur n’est pas fiable après avoir été utilisé d’une façon considérée comme fiable
13/10/2006 Chronique Santé : Sida : la « charge virale », indicateur fiable ou pas ?
http://www.rfi.fr/fichiers/MFI/Sante/1900.asp
Or ce fait a déjà été dit par des chercheurs dissidents qui ont été discrédité... Or maintenant on leur donne raison.
Pourtant ils ont annoncé cela depuis longtemps, dont dans un article datant ou traduit de 1997 !!!!!
L’étude leur donnant raison date de 2006
Attention cet article donne la vision d’un chercheur sur cette question de la maladie... qui est à l’opposé de celle admise. Attention cela peut choquer.
Je ne cautionne pas l’ensemble des propos du texte mais je trouve que c’est un élément à rajouter au dossier du questionnement sur le SIDA/VIH/traitements. Et un bel exemple du genre de question posées par certains chercheurs.
Je pense qu’il y a d’autres articles plus centrés sur la dénonciation de l’utilisation de la charge virale comme test... dont un par Kary Mullis inventeur de la PCR qui indique que c’est une absurdité sans nom d’utiliser cette technique avec le VIH...
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Une charge virale... de bêtise
Pour ceux qui croient encore que le VIH est la cause du SIDA, la nouvelle mode - en tandem avec les inhibiteurs de protéase - est la « charge virale ». Il n’y a pas si longtemps, une des meilleurs arguments contre la théorie VIH était le fait qu’il n’y a pas suffisamment de virus dans les malades du SIDA pour expliquer une quelconque maladie. D’ailleurs, c’est encore une des meilleurs arguments ! Non, me dites-vous ? Vous avez entendu parler d’une nouvelle technique qui trouve énormément de VIH - une charge virale élevée - dans les malades du SIDA ? La vieille méthode pour compter les virus n’était pas suffisamment sensible, dit-on.
Dans cet article, nous examinons cette nouvelle technique, et nous trouvons qu’elle laisse à désirer. Premièrement, elle ne mesure pas les VIH, mais l’ARN associée au VIH. Et deuxièmement, presque tout l’ARN qu’elle trouve est fabriquée par la technique elle-même ! La charge de VIH qu’elle est supposée mesurer est imaginaire, et les théories auxquelles elle donne naissance sont - disons-le - de la bêtise.
http://www.sidasante.com/science/scichar.htm