Je suis tellement d’accord avec ce texte que je le reprend directement :
L’obligation vaccinale est en infraction légale avec les textes français
Des abus d’autorité vaccinale sont commis à de multiples niveaux socioprofessionnels en tentant d’imposer des vaccins non obligatoires à l’embauche, ou à l’inscription de formations, ou de stages. D’après nos sources, tout un système de pression a été mis en place pour faire peur aux directions d’entreprises qui, mal informées, appliquent la technique du parapluie. Cette politique n’a pour but que d’écluser les surplus de vaccins. L’acceptation des vaccinations fait donc maintenant partie des conditions d’admission dans des domaines multiples et variés.
Voici donc une panoplie de textes permettant à chacun de se défendre contre le chantage aux vaccins.
* Toute obligation est anticonstitutionnelle : Art. 3 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, du 10décembre 1948 : « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne ».
* Toute obligation est contredite par le nouveau Code Civil qui reconnaît le « principe de respect de l’intégrité du corps humain ».
* Toute obligation est en contradiction avec l’art. 36 du Code de Déontologie Médicale qui précise : « Tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes ».
* Toute obligation est contraire aux Arrêts de la Cour du 25 février et 14 octobre 1997, expliquant : Information des patients, « Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu’ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques les plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés ».
* Toute obligation est annulée d’office par la Loi du 4 mars 2002 n° 2002-303, Art. 11, chapitre 1er, modifiant l’Art. L 1111-4 du Chapitre 1er du titre 1er du Livre 1er de la première partie du Code de la Santé Publique : « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peuvent être pratiqués sans le consentement libre et éclairé de la personne, et ce consentement peut être retiré à tout moment ».
Il appartient donc à chacun d’accepter ou refuser librement la vaccination, cet acte médical contesté depuis plus d’un demi-siècle par une multitude de professionnels de la médecine et sommités médicales.
http://sunsimiao.free.fr/spip.php?article25