Un très bel article. Je suis tout à fait d’accord avec vous, Gus Van Sant passe à autre chose dans Paranoid Park. Comme vous le dites si bien, il a l’art de capter l’instant ! Ceci dit, je ne pense pas qu’il y ait vraiment de « surplace », pas plus que dans Last Days, en tout cas ! Je partage plutôt le point de vue de Cyril Neyrat des Cahiers du cinéma : le sacré ne concerne plus une transcendance, il est devenu immanent... GVS saisit un des moments les plus beaux de l’adolescence : le moment de l’échappée hors du monde parental , hors du monde scolaire, le premier instant de l’’indépendance, mais aussi de la prise de risques. Cet « hors-monde », c’est bien sûr le Paranoid Park, mais cela, vous l’avez déjà très bien expliqué !
06/11 12:59 - Vincent Delaury
Chère lectrice, merci beaucoup pour vos remarques et compliments, ça fait toujours plaisir (...)
06/11 09:03 - Juliette Goffart
Un très bel article. Je suis tout à fait d’accord avec vous, Gus Van Sant passe à autre (...)
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