La guerre contre le Liban n’était qu’un pion dans le remodelage du Moyen Orient tel que préparé par les stratégistes néocosnervateurs anglo-étasuniens et israëliens.
Remarquez au passage que ni la Grande Bretagne ni les Etats-Unis ne participent concrêtement à la Finul.
Cette guerre visait à affaiblir le Liban pour éviter un contre-coup trop proche d’Israël en cas d’attaque sur l’Iran, et trop dangereux pourles civils israëliens.
Le renfocerment de la Finul pourrait permettre de compenser le ratage de la guerre, et protéger Israël en cas d’attaque contre l’Iran et la Syrie.
De plus, l’avantage tactique pour les stratégistes néoconservateurs, c’est d’impliquer les autres pays peu convaincus d’une attaque sur l’Iran, en leur forçant la main et en les obligeant à prendre position pour protéger Israël : non seulement cela éviterait un front important aux amrées anglo-USraëliennes, mais en plus cela obligerait à choisir le camp des néoconservateurs (on voit en effet mal la France laisser les musulmans libanais et Syriens répondre à Israël en envoyant des missiles).
Evidemment, cette avancée tactique est passée totalement sous silence par nos « experts » à 2 balles qui viennent sur les plateaux tv avec leur baguette, leurs cartes et leurs chiffres plus ou moins bidonnés, plutôt pluqs que moins.
On peut penser que les pions suivants, à savoir une mise en demeure à l’Iran de répondre à toutes les exigences des néo-cosnervateurs, seront très prochainement avancés et feront la Une des médias, comme pour l’Irak. Avec les mêms conséquences finales.
Le président Iranien et le président Syrien prendront alors dans tous les médias alignés la place de grands Satans mençant la paix mondiale, cette même place qu’occupait Saddam Hussein dès lors que les stratèges néconservateurs auront donné le signal.
Pour plus d’infos sur le remodelage du Moyen Orient, lire le Think Tank ultra-néoconservateur CFR, Council on Foreign Relations, le lobby (étasunien) le plus puissant du Monde avec le Bilderberg (son clone néoconservateur européen), sous le chapeautement de la Commission Trilatérale :