@ Fred
Tout celà est juste. Mais ces points de détails ne doivent pas masquer l’essentiel qui est que le système n’est pas en faillite. Sur les points annexes, nous n’en finirions pas de détailler les options, baisse du chômage, deplafonnement des cotisations des hauts salaires,etc...
Quand à dire que les transferts des salaires vers le profit ont été faits pour améliorer l’investissement, les faits ne plaident pas en la faveur de cette idée. mais aborder ici les raisons de l’abandon du compromis fordiste nous entrainerait trop loin.
@ Nemo
Dont acte. Je me suis exprimé de manière un peu ... cavalière.
Pourtant, il y a bien une leçon qui est récitée, c’est celle d’un système qui serai absolument à réformer, et la necessité qu’il y aurai à responsabiliser les malades. d’ailleurs, et ça a son importance, cette idée est tellement insuffisante que le coup de la vignette auto nous est refait.
Etatisation. L’originalité de la gestion paritaire, c’est.... la démocratie. Il y a si longtemps qu’il n’y a pas eu d’élections à la sécu, que nous avons oublié.
Le pouvoir corromps. Le pouvoir absolu corromps absolument. C’est pourquoi ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier est plutôt une bonne idée. Et voter, c’est d’une certaine manière responsabiliser. Voter sur le budget de la secu sans mélanger avec la défense, ou l’école, etc, c’est une idée de démocratie participative qui a été abandonnée, sans que nous nous en rendions même compte. Dommage.